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Galerie d’hespéries

Pour aujourd’hui, petite galerie de papillons de jour (des Rhopalocères), on vous présente les Hespéries. Observables d’avril à septembre, ces papillons ont une tête aussi large que leur thorax. Leur coloration est généralement discrète et uniforme. Leurs antennes sont distinctement écartées à la base, avec une extrémité en forme de massue épaisse. Leurs ailes courtes sont plutôt triangulaires voire arrondies.

Pyrgus malvae, l’Hespérie de la mauve © CACP – Emilie Périé

Petit papillon de prairies, friches, lisières ou encore clairières, l’Hespérie de la mauve s’accoutume de nombreux milieux. Son envergure dépasse rarement les 2,5 cm. Les adultes butinent beaucoup les Potentilles et les petites fabacées et d’ailleurs les mâles sont assez territoriaux ! Son nom latin malvae désigne la mauve, identifiée par erreur comme la plante-hôte de l’espèce par Carl Von Linné, en effet ses plantes-hôtes sont généralement les rosacées herbacées et les potentilles.

Carchadorus alcea, l’Hespérie de l’alcée © CACP – Gilles Carcassès

De son envergure de 2,5 à 3 cm, cette Hespérie de l’alcée habite dans les milieux ouverts tels que les pelouses, prairies, parc urbains voire les talus de bord de route. Les mâles se perchent souvent au sommet de leur fleur pour surveiller leur territoire, ils n’hésitent d’ailleurs pas à chasser les papillons de passage ! A contrario avec l’Hespérie de la mauve, ce papillon a pour plante-hôte les Malvacées : les Mauves.

Le nom de genre Carcharodus signifie « aux dents pointues » et renvoie à l’aspect déchiqueté du bord des ailes de ces Hespéries. Il ressemble d’ailleurs beaucoup au nom de genre du Grand Requin blanc Carcharodon carcharias.

Spalia sertorius, l’Hespérie des sanguisorbes © CACP – Emilie Périé

Mignon papillon bien poilu qui apprécie les pelouses sèches, les friches, les landes sur les coteaux, surtout exposées vers le sud. Il est possible d’observer des adultes se rassemblant en très grand nombre sur les sols humides des bords de cours d’eau avec d’autres Hespéries et Lycénidés.

L’Hespérie des Sanguisorbes voit actuellement ses populations décliner du fait de la fermeture des pelouses sèches.

Ochlodes sylvanus, la sylvaine © CACP – Gilles Carcassès

La Sylvaine est la plus « plastique » de tous les Hespéries, en colonisant tous les milieux en friche, à la ville ou à la campagne, sur les bords des routes ou dans les jardins.

Hesperia comma, la virgule © CACP – Gilles Carcassès

Ce papillon vole si rapidement qu’il est difficile de le suivre à l’œil. Heureusement, il se pose régulièrement ce qui permet de l’identifier correctement. On considère la Virgule comme relativement rare. Pour les plus chanceux, il est possible de l’observer butiner des Astéracées (cires et achillées), mais plutôt dans le sud de la France.

Originaire d’Amérique, des études phylogénétiques ont montré que sa colonisation de l’Eurasie date d’il y a environ 1 million d’année !

Sources

Guide pratique des papillons de jour – JP.MOUSSUS, T.LORIN, A.COOPER – Edition Delachaux & Niestlé 2022

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Carex sylvatica

Lors d’une petite visite dans le bois de Menucourt, nous avons fait l’observation d’une herbe haute, bien verte et assez farfelue… Un Carex !

Alors oui mais lequel ? Sur les 58 recensés en Île de France, nous voilà en face au Carex sylvatica, communément appelé la Laîche des bois. Cette plante de la famille des Cypéracées, se plait bien dans les boisements de notre territoire.

Laîche des bois, Carex sylvatica – Menucourt © CACP – Emilie Périé

Omniprésente dans tous les boisements de la région, sans véritable lacune; ce carex est une espèce qui aime l’ombre ou le demi-ombre, les sols frais et profonds : layons, coupes et sous-bois des chênaies-charmaies, hêtraies et autre boisements… La Laîche des bois est l’une des plus communes en Île-de-France.

Laîche des bois et ses épis, Carex sylvatica – Menucourt © CACP – Emilie Périé

On la reconnait par sa couleur verdoyante, un port touffu, ses longues feuilles élancées vers le haut avec une légère inclinaison. Elle entre en période de floraison entre mai et aout, le Carex sylvatica se compose de petits épillets verts le long de ses tiges. Avec un unique épi mâle brun clair et allongé quand il n’est pas encore ouvert, et trois à cinq épis femelles qui pendent à l’extrémité de longs pédoncules.

Laîche des bois, Carex sylvatica – Menucourt © CACP – Emilie Périé

Un carex beau et élancé, mais on vous conseille tout de même de faire attention en le manipulant. Carex venant du mot « kairo » en grec, signifie littéralement « couper », faisant référence aux feuilles finement dentelées sur les bords, qui peuvent occasionnellement blesser la peau de la main si elle glisse dessus ! Prenez garde…

Pour encore plus de Carex :

La laîche des rives – Nature en ville à Cergy-Pontoise

Inventaire botanique à  Maurecourt : la forêt – Nature en ville à Cergy-Pontoise

Sources

Carex sylvatica Huds – Laîche des bois

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Accueillir la biodiversité au jardin

Les jardins sont souvent perçus comme les reflets de l’harmonie entre l’Homme et la nature, ces lieux ont captivé et inspiré l’humanité à travers les âges. Des simples potagers aux jardins parfaits à la française inspirés d’André Le Nôtre, chaque type de jardin raconte une histoire unique, reflétant la culture, le climat et les aspirations de ceux qui les cultivent.
Cependant, on observe que les jardins peuvent être à la fois des atouts et des défis pour la biodiversité, selon la manière dont ils sont aménagés et entretenus…

Aujourd’hui on vous présente un nouveau rapport de l’ARB Île-de-France « Accueillir la biodiversité dans son jardin » disponible juste ici 👉 Rapport – Accueillir la biodiversité dans son jardin – ARB IDF 2024

La prairie du jardin des taillis, gestion différenciée – Vauréal © CACP – Gilles Carcassès

Ce rapport est une ressource précieuse pour quiconque souhaite créer un espace accueillant pour la biodiversité. Il couvre une gamme de sujets essentiels, de la gestion de l’eau à la création d’habitats pour différentes espèces, en passant par des conseils pratiques sur la manière de favoriser la diversité des plantes et des animaux dans un environnement urbain ou domestique.

Jardin « Solstice » de Nicholas Tomlan © Gilles Carcassès

Il est aussi bien utile pour ceux qui veulent faire leur part pour soutenir la biodiversité locale tout en créant des espaces agréables et fonctionnels. Vous y trouvez aussi des réponses aux questions fréquemment posées aux naturalistes qui aident à dissiper les préoccupations ou les malentendus courants.

Une partie est consacrée aux espèces végétales locales et est particulièrement intéressante, elle encourage l’utilisation de plantes adaptées au climat et au sol de la région, ce qui peut contribuer à promouvoir la résilience et la durabilité écologique à long terme.

En somme, ce carnet est une ressource complète pour ceux qui veulent agir en faveur de la biodiversité dans leur jardin.

Sources

Rapport – Accueillir la biodiversité dans son jardin – ARB IDF 2024

Article – Accueillir la biodiversité dans son jardin – ARB

Retrouvez nos précédents articles sur les jardins écologiques

Rentrée 2024 du jardin école de Vauréal – Nature en ville à Cergy-Pontoise

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Une beauté céleste dans les jardins terrestres

Bravo à celles et ceux qui ont trouvé notre belle stellaire !

Largement distribuée en Île-de-France, on vous présente la Stellaire holostée, Stellaria holostea. Cette plante herbacée vivace appartient à la famille des Caryophyllacées et fleurit généralement au printemps et au début de l’été (avril à juin). Ses fleurs, d’un blanc pur, sont souvent mises en valeur par un feuillage vert vif, créant un contraste saisissant avec le paysage environnant.

Stellaire holostée, Stellaria holostea – Pontoise © CACP – Gilles Carcassès

Originaire des régions tempérées de l’hémisphère nord, la fleur stellaire holostée pousse dans les prairies, les lisières forestières et les zones herbeuses. Elle se caractérise notamment par ses tiges rudes portant des grappes de petites fleurs blanches disposées en forme d’ombelle au sommet. Chaque tige mesure 30 à 60 cm, les fleurs vont de 20 à 30 millimètres de diamètre et sont bien plus grandes que les sépales.

Stellaire holostée, Stellaria holostea © CACP – Gilles Carcassès

La Stellaire holostée tire son nom évocateur de la disposition étoilée de ses petites fleurs blanches mais aussi de ses tiges rigides et cassantes évoquant des « os ». Le terme grec holos veut dire «entier» et osteum «os», holostea est donc «tout en os» !

Sources

Flore d’Ile-de-France – Clés de détermination, taxonomie, statuts par Philippe Jauzein et Olivier Nawrot – Collection guide pratique 2013

Flore d’Ile-de-France par Philippe Jauzein et Olivier Nawrot – Collection guide pratique 2011

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Enquête citoyenne Hirondelles et Martinets

Les hirondelles et les martinets, deux groupes emblématiques des oiseaux migrateurs, sont depuis toujours des symboles de l’arrivée du printemps et de la douceur des jours d’été. Leur silhouette gracieuse dans le ciel, leurs vols acrobatiques et leurs chants joyeux font partie intégrante de notre paysage et ne vont pas tarder à venir égayer nos journées. Cependant, ces espèces, qui ont élu domicile dans nos constructions, sont particulièrement vulnérables aux travaux de rénovation ou d’isolation.

Hirondelles de fenêtre, Delichon urbicum – Grouchy © CACP – Gilles Carcassès

La Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) Île-de-France lance une enquête citoyenne afin de mieux identifier la présence des nids d’hirondelles et de martinets. L’objectif principal de cet observatoire est de sensibiliser l’ensemble de la population et de prévenir les destructions de nids (rappel : les hirondelles et martinets sont des espèces protégées, la destruction des nids est interdite et passible d’une amende relativement salée). Un bel exemple de préservation des nids sur un bâtiment est celui du château de Grouchy !

Aussi, si vous observez des nids d’hirondelles ou de martinets vous pouvez participer à l’enquête Mobilisation pour les Martinets et Hirondelles !

Sources :

Programmes et enquêtes : GeoNature-citizen (arb-idf.fr)

Fiches d’aide à l’identification : Hirondelles et Martinets – LPO

Retrouvez les portraits des espèces cergypontaines :

L’hirondelle rustique

L’hirondelle de fenêtre

Le martinet noir

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Pas un pissenlit : les Séneçons

Nous revoilà avec nos faux pissenlits et pour se faire on reste dans le thème avec des plantes de la famille des astéracées jaunes : j’ai nommé les Séneçons.

Il est possible d’observer une dizaine d’espèces de Séneçon en Île-de-France dont le célèbre Séneçon du Cap, le Séneçon jacobée, le Séneçon commun ou encore le Séneçon visqueux.

Sur le plan étymologique, Séneçon ou Senecio son nom scientifique, vient du latin senex « vieillesse » ou « sénescence » qui fait probablement allusion aux aigrettes blanches des fruits.

Séneçon commun, Senecio vulgaris – Cergy © CACP – Gilles Carcassès

Le fruit du Séneçon commun est celui qui se rapproche le plus du pissenlit. Ce séneçon est une plante annuelle omniprésente et très abondante dans toute la région. Physiquement il présente de longs poils laineux formant souvent des bourres à l’aisselle des feuilles et rameaux, il se distingue par sa tige dressée et ramifiée, pouvant mesurer de 10 à 50 cm de hauteur.

Considéré comme une adventice urbaine, il se trouve facilement dans les friches, pépinières, décombres, trottoirs, jardins etc… Il n’est cependant pas le bien venu dans les prairies puisqu’il semble être toxique en cas d’ingestion par les herbivores.

Le séneçon de Jacobée, Jacobaea vulgaris © CACP – Emilie Périé

Du côté du séneçon de Jacobée (Jacobaea vulgaris) la différence avec le pissenlit est d’autant plus marquée que ce séneçon a deux types de fleurs : ligulées (en forme de pétale) et tubulées (en forme de tube) ; comme une pâquerette par exemple.

Ces fleurs ont un lien fort avec les pollinisateurs, on note par exemple le papillon Goutte de sang dont la chenille est inféodée au séneçon de Jacobée.

Tyria jacobaeae, chenille © CACP – Emilie Périé

Un webinaire spécial pollinisateurs

L’occasion de vous parler du deuxième épisode du cycle de conférences Fausses bonnes idées, « Les abeilles domestiques vs les pollinisateurs sauvages » qui aura lieu le 29 avril. Le programme complet et inscription sur la page de l’Agence Régionale de la Biodiversité.

Fausses bonnes idées © Agence Régionale de la Biodiversité en Île-de-France

Retrouvez dans ces articles les autres fleurs de la série :

Pas un pissenlit : les crépis

Pas un pissenlit : la lampsane

Pas un pissenlit : les laiterons

Pas un pissenlit : les laitues

Pas un pissenlit : la porcelle enracinée

Pas un pissenlit : les deux picris

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L’hespérie de la mauve

Joli papillon de la famille des Hespéridés, l’hespérie de la mauve est distribuée dans toute l’Europe et bien qu’elle soit peu commune sur le territoire. De mai à août cette Hespérie papillonnera dans les coteaux fleuris et les prairies humides qu’elle affectionne particulièrement.

Les chenilles de ce papillon se trouvent principalement sur des Rosacées (une famille cosmopolite qui comprend aussi bien des plantes herbacées vivaces que des arbustes ou des arbres), notamment des potentilles tels que le fraisier des bois ou encore la ronce commune. En revanche, elle ne pond pas sur les mauves… Il semblerait qu’elle est été confondue avec l’hespérie de l’alcée il y a de cela quelques siècles et le nom sera resté.

Pyrgus malvae, l’hespérie de la mauve © CACP – Emilie Périé

Le dessus des ailes gris brun, est marqué par de nombreuses taches blanches de même taille mais, contrairement à l’hespérie des sanguisorbes, le bord des ailes antérieures est dépourvu de la série de taches parallèle au bord. Le dessous des ailes, gris jaunâtre ou verdâtre, parfois roux, présente des taches blanches anguleuses dont une forme d’enclume sur les ailes postérieures.

Sources

Pyrgus malvae – INPN (mnhn.fr)

Guide des plus beaux papillons et leurs fleurs favorites – Edition Belin, 2016 de Dominique Martiré, Franck Merlier et Bernard Turlin

Papillons de jour en Brie des Morin ; édition TERROIRS

Dans la famille des hespéries, retrouvez :

L’hespérie des sanguisorbes

L’hespérie de l’alcée

La sylvaine

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Agaric géant des prés

Petit portrait sur ce géant des prés pourtant bien rare à observer…

L’Agaric géant des prés, Agaricus urinascens, est un champignon de la famille des Agaricaceae.

C’est une espèce caractérisée par son aspect massif, son anneau denté-crénelé, son pied grossièrement floconneux-squamuleux (en référence à la présence de squamules, c’est-à-dire de petites écailles) et son odeur d’abord anisée puis désagréable.

Ce gros champignon blanc est aussi surnommé « Boule de neige », on insiste sur sa taille puisque son chapeau peut atteindre 20 cm de diamètre et 30 cm de hauteur totale !

Agaric géant des prés, Agaricus urinascens – Puiseux-Pontoise © CACP – Gilles Carcassès

L’agaric est une espèce peu fréquente, mais il est néanmoins possible de le rencontrer à la fin de l’été et à l’automne, après de bonnes pluies. Son habitat varie entre les pâturages, les forêts, terrains calcaires, et zones alpines.

Bien que ce champignon soit comestible, assurez-vous d’être sûr de l’identification pour éviter tout danger d’intoxication.

Sources

Agaricus urinascens (mnhn.fr)

Agaricus-urinascens Schäff. & Moller.pdf (mycologie-grenoble.fr)

Agaricus urinascens P.Tachaud.pdf (mycocharentes.fr)

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Crapaudrôme et enquête amphibiens

Chaque année, à partir du moins de février, les amphibiens sortent de leur hivernage et migrent lors de soirées humides et douces pour se reproduire en milieu aquatique, telles que les mares, étangs et rivières environnantes.

Durant ce trajet souvent long et périlleux, ces espèces sont confrontées à de nombreux obstacles, notamment aux routes. Ces barrières infranchissables interrompent leur habitat et le passage de voitures les condamnent à l’écrasement.

Inauguration d’un crapaudrome

Afin de pallier à la mortalité des amphibiens sur les routes, un groupe d’habitants bénévoles de Menucourt a réalisé un crapaudrome sur la route menant à la Fondation John BOST !

Crapaudrome installé depuis le 16 mars 2024 – Menucourt © CACP – Emilie Périé

Un crapaudrome est une installation ayant pour objectif d’amener en toute sureté les crapauds (et autres amphibiens) vers leur site de reproduction :

  1. Le dispositif est constitué d’une bâche tendue le long de la route et de plusieurs de seaux enfouis au ras du sol.
  2. Blocage des amphibiens : Lorsque les amphibiens migrent vers leurs lieux de reproduction, ils sont bloqués par la bâche. Ils la longent et finissent par tomber dans l’un des seaux.
  3. Collecte quotidienne : Chaque matin, une collecte est effectuée, et les amphibiens sont relâchés de l’autre côté de la route, en toute sécurité.

Le crapaudrome mis en place comprend une dizaine de seaux, espacés de quelques mètres. Une branche a été disposée dans chacun d’entre eux, afin de permettre la sortie des micromammifères et éviter qu’ils soient piégés dans les seaux.

Chaque matin les seaux sont vérifiés, si un amphibien vient à s’y mettre, il est alors emmené de l’autre coté de la route afin qu’il poursuive en sécurité son chemin vers son point d’eau.

Participez aux enquêtes d’observation !

L’Agence régionale pour la biodiversité en Île-de-France (ARB îdF) vous invite à participer au recensement des sites d’écrasements d’amphibiens grâce à cette plateforme participative de saisie en ligne. Une centaine de sites ont pu être recensés jusqu’à maintenant, qui ont notamment pu être sécurisés via des ouvrages de type Crapaudromes et Crapauducs.

Pour participer et obtenir davantage d’informations, rendez-vous sur le site GeoNature-citizen.

N’hésitez pas à consulter l’appel à participation lancé par l’ARB IDF Migration des amphibiens – Appel à participation

D’autres enquêtes sont en cours et à venir ! N’hésitez pas à consulter régulièrement 🙂

Sources

Migration des amphibiens – Appel à participation de 2024 – ARB (arb-idf.fr)

GeoNature-citizen (arb-idf.fr)