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Les coulisses du blog 2020

En cette fin d’année, à  l’heure des bilans, c’est l’occasion pour moi de vous donner des nouvelles de l’équipe.

Malgré sa retraite de la fonction publique, Gilles n’a pas cessé ses activités naturalistes et il a continué à  nous faire part de ses découvertes et nous accompagner sur le terrain.

Après un an dans l’équipe et fraichement diplômé Léo s’en est allé voguer vers de nouvelles aventures écologiques en pays basque.

Marie et Manon, nos deux stagiaires de printemps et d’été ont découvert la vie active en confinement mais ont pu participer à  nos différentes missions.

Quant à  moi, je reste seule aux commandes mais je continue à  écrire et photographier pour mettre en lumière toutes les beautés de notre territoire.

Mais voyons un peu comment chacun s’est impliqué cette année !

Sauve qui peut !

Gilles et les migrateurs d’hiver – Cergy © CACP – Emilie Périé

Exfiltration d’urgence lors de la prise d’assaut de notre observatoire à  l’heure de la sortie de l’école maternelle.

Sauvetage !

Léo et les œufs de grenouille © CACP – Emilie Périé

Remise à  l’eau des œufs d’une grenouille agile écrasée par une voiture.

SPIPOLLons !

Manon et Léo en plein SPIPOLL © CACP – Emilie Périé

Entre Missions Messicoles-pollinisateurs et l’étude Cimetières vivants, Manon, Léo et moi avons passé une grande partie de l’été avec le protocole SPIPOLL. Près de 60 collections publiées cette année !

Patounes et croquettes !

Manon et Léo pendant Mission Hérisson © CACP – Emilie Périé

Le protocole Mission Hérisson déployé pendant l’étude cimetière a été l’occasion donnée à  tous de mettre à  profit ses talents de bricoleurs : montage des tunnels, peinture à  l’encre, dosage des croquettes … Avec à  la clé : des « patounes » ! (Les empreintes laissées par les petits mammifères sur les feuilles blanches). On ne peut que vous encourager à  réaliser le protocole dès le printemps prochain, à  la sortie d’hibernation des hérissons.

Sortons !

Léo, expliquant le protocole LichenGo © CACP – Emilie Périé

Sous la pluie, la canicule, de nuit, de jour, masqués ou non, dans les jardins et les maisons ou dans les champs et forêts, nous avons mis à  profit tous les instants disponibles cette année pour observer la biodiversité de notre territoire et vous la faire partager.

On espère que tout cela vous aura plu et que vous continuez à  apprendre et vous émerveiller à  nos côtés. Car il y a encore beaucoup à  découvrir, alors on vous donne rendez-vous l’année prochaine !

Première sortie de mai © CACP – Emilie Périé
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Stenodema la punaise

Stenodema calcarata © CACP – Emilie Périé

En septembre dernier, une tache verte se promène dans les épis rouges des roseaux aux bords de l’Oise à  Maurecourt. Son allure très allongée m’intrigue. C’est Gilles qui m’en donnera le nom. Il nous en parle dans cet article.

Il s’agit d’une punaise du nom de Stenodema calcarata de la famille des Miridae. Calcar signifie « éperon » et fait référence aux épines présentes sur les fémurs de la bête. La couleur verte oriente vers la femelle de l’espèce (le mâle étant plutôt couleur paille).

Nous l’avons surement dérangée en plein repas, cette punaise se nourrit en piquant les graines pas encore mà»res de graminées essentiellement en zone humide, comme ce roseau (Phragmites australis).

Est-elle commune ? Difficile à  dire, elle n’est mentionnée que 20 fois dans toute l’àŽle-de-France dans la base de données CETTIA, mais c’est peut-être seulement parce qu’elle est discrète.

Retrouvez dans nos articles d’autres Miridae :

La miride du chêne

Heterotoma planicornis

Mermitelocerus schmidtii 

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Le Projet Alimentaire Territorial et la biodiversité

Imaginons notre alimentation de demain

Plaine maraîchère, Cergy © CACP – Gilles Carcassès

La mise en chantier du Projet Alimentaire Territorial (PAT) Cergy-Pontoise Vexin français est lancée. Fruit d’un partenariat engagé depuis plusieurs mois entre la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise (CACP) et le Parc naturel régional du Vexin français, en lien avec deux associations, Quelle Terre Demain ? et le Centre d’Ecodéveloppement de Villarceaux, ce projet va s’appuyer sur un diagnostic agricole et alimentaire du territoire qui est en cours d’élaboration. Il présentera un état des lieux de la demande, de la production existante, des flux et des réseaux de transformation ainsi que de distribution.

Ce premier travail, partagé avec les acteurs locaux et le grand public, permettra d’aboutir, dans un second temps, à  un plan d’actions opérationnel et concerté à  l’été 2021.

Le PAT s’inscrit dans une démarche globale et transversale en faveur d’une meilleure prise en compte des problématiques agricoles et alimentaires à  l’échelle locale. Il vise le rapprochement de l’offre et de la demande alimentaire locale.

Les premières thématiques identifiées concernent la préservation de l’environnement (dont la protection des ressources et la lutte contre le gaspillage alimentaire), la justice sociale (via la restauration collective), l’éducation alimentaire et l’aménagement du territoire.

Une cinquantaine de partenaires techniques se sont retrouvés la semaine dernière pour découvrir et enrichir le diagnostic du PAT, qui sera présenté au plus grand nombre fin janvier. A suivre..

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Les beaux papillons de l’année 2020

Pour souhaiter un bon départ en congés de fin d’année à  ceux qui partent et offrir quelques couleurs estivales à  ceux qui restent, voici les plus beaux papillons rencontrés cette année sur le territoire.

En noir et blanc

Le demi-deuil sur un trèfle des prés – Osny © CACP – Léo Micouin

Le demi-deuil, Melanargia galathea

L’écaille chinée – Vauréal © CACP – Emilie Périé

L’écaille chinée, Euplagia quadripunctaria

En nuances de bruns

Le robert-le-diable sur l’eupatoire chanvrine – Jouy-le-Moutier © CACP – Léo Micouin

Le robert-le-diable, Polygonia c-album

Le petit sylvain – Jouy-le-Moutier © CACP – Emilie Périé

Le petit sylvain, Limenitis camilla

Le myrtil – Pontoise © CACP – Gilles Carcassès

Le myrtil, Maniola jurtina

De toutes les couleurs

Le souci, sur le trèfle des prés – Maurecourt © CACP – Emilie Périé

Le souci, Colias crocea

La belle dame – Vauréal © CACP – Emilie Périé

La belle dame, Vanessa cardui

L’ariane – Cergy © CACP – Emilie Périé

L’ariane, Lasiommata maera

Pour encore plus de couleurs :

Les papillons de 2019

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A pompons : le cirse laineux

Cirsium eriophorum © CACP – Emilie Périé

Avec le froid qui s’installe il est temps de ressortir les pulls en laine, les bonnets à  pompons et les photos des pompons du cirse laineux !

Car lui est un peu à  contre-courant, c’est en été, au moment de la floraison qu’il sort ses pelotes de laine. En ce moment on peut trouver au mieux des rosettes de feuilles au ras du sol ou des graines bien cachées sous terre.

Ces grosses boules laineuses qui ressemblent au choix à  une barbe-à -papa ou à  une pelote de toiles d’araignées flanquée d’aiguilles sont les capitules de la plante. De la famille des Astéracées, le cirse laineux forme des fleurs très nombreuses rassemblées en capitules qui sont entourés par des bractées (les pointes rouges qui ressemblent à  des aiguilles). Les jeunes fleurs sont protégées par l’assemblage de soies qui limite la prédation par les chenilles ou les charançons. A l’éclosion des fleurs le capitule s’ouvre et transforme le pompon blanc en pompon rose. On voit ci-dessous l’émergence des premières fleurs sur un jeune capitule.

Cirsium eriophorum © CACP – Gilles Carcassès

Côté protection, le cirse laineux ne s’arrête pas là . Les cirses font partie de ce qu’on appelle communément les chardons : les plantes à  épines et à  fleurs violettes. On le voit sur ces images, les feuilles du cirse laineux sont terminées par de fortes épines.

Pourtant cela n’empêche pas de très nombreux animaux d’en profiter : les butineurs, le insectes phytophages, les ruminants et même les humains ! Il parait que les capitules de cirses étaient consommés comme ceux de l’artichaut.

Sources :

La flore d’àŽle-de-France, par Philippe Jauzein et Olivier Nawrot

Le cirse laineux, FLORIF

Le cirse laineux, TelaBotanica

Le cirse laineux par ZoomNature

Retrouvez d’autres pompons dans nos articles :

Le cirse des champs

Le cirse maraicher

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Le héron cendré

L’île de loisirs de Cergy © CACP – Emilie Périé

Il y a quelques jours, pendant que je profitais de mon heure quotidienne pour observer la vie hivernale de l’île de loisirs, il y avait sur la pyramide (à  gauche de l’île astronomique sur l’image) pas moins de 5 hérons cendrés.

Le héron cendré, Ardea cinerea © CACP – Emilie Périé

Ce grand oiseau, à  l’allure tantôt gracieuse et tantôt renfrognée est un animal grégaire. L’hiver, les individus se regroupent en dortoir dans des espaces protégés des prédateurs. Vue l’avancée de la nuit au moment de mon observation je suppose que mes 5 hérons, isolés sur leur pyramide, s’apprêtaient à  passer la nuit ensemble et à  l’abris. Au printemps, les adultes forment des colonies pour nidifier. Jusqu’à  plusieurs dizaines voire centaines de couples se regroupent dans des arbres ou des roselières et y construisent des nids de relativement petite taille comparée à  celle de l’oiseau.

Jeune héron dans un platane © CACP – Gilles Carcassès

Malgré son envergure, le héron fréquente beaucoup les arbres, pour se percher, pour dormir ou pour y construire son nid.

En revanche, lorsqu’il chasse le héron est solitaire et défend farouchement son territoire. Que ce soit à  la pêche (il consomme essentiellement des poissons et quelques amphibiens) ou à  la chasse (il n’est pas rare de le voir dans les champs attraper de petits mammifères) il ne se laisse pas voler une proie.

Héron cendré, au déconfinement de mai © CACP – Emilie Périé

Il n’est d’ailleurs pas moins farouche concernant les humains. S’il n’est pas rare de le voir sur les bassins urbains où il se nourrit de poissons rouges il se tient en général à  bonne distance. Celui-ci profitait du confinement du printemps pour faire une petite promenade aux bords des bassins du parc de la préfecture.

Quelques critères physiques

Le héron cendré en vol © CACP – Emilie Périé

Les oiseaux de la famille des Ardéidés, dont fait partie le héron cendré, ont la particularité de tenir leur long cou replié en vol et au repos, il prend une forme de S, caractéristique de la famille.

Ils le déplient quand ils sont à  l’affut d’une proie ou pour la harponner. Le héron est pour cela équipé d’un bec long et puissant en forme de poignard.

Héron cendré juvénile © CACP – Gilles Carcassès

Côté couleur, le héron fait dans l’élégance sobre : en nuances de gris, de noir et de blanc. Le juvénile a le front gris et peu de distinctions sur le reste du plumage. Les adultes ont le front blanc et deux sourcils noirs qui se rejoignent derrière la tête. Le cou est blanc et très différencié du reste du corps, gris cendre.

Héron cendré © CACP – Emilie Périé

De l’importance de la cendre :

Si le qualificatif de cendré (cinerea en latin) correspond bien à  la couleur de l’oiseau il rappelle également qu’il n’est pas seul et permet de le distinguer des autres espèces de hérons. En àŽle-de-France on peut rencontrer :

  • Ponctuellement, un héron pourpré (plutôt méditerranéen) de passage pendant une migration.
  • Le héron garde-bœufs, un petit héron tout blanc.
  • Le butor étoilé, le bihoreau gris et le blongios nain, trois petits hérons rares mais présents dans la région.
  • Le héron crabier, encore plus rare que les précédents.
  • Et les deux aigrettes, la grande et la garzette que l’on a déjà  vu sur le territoire.

Sources :

Le héron cendré, par Oiseaux.net

Cettia-idf

Faune àŽle-de-france

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Le myrtil

Ramenons un petit air d’été avec ces quelques clichés de papillon.

Le myrtil, Maniolia jurtina, mâle© CACP – Alexandra Marques

Ce grand brun (il fait presque 5 centimètres d’envergure!) est le myrtil, Maniola jurtina. Cet individu, butinant des fleurs d’origan, est un mâle. On le reconnait aux teintes foncées du dessus de ses ailes ; la femelle a des marques orange plus claires autour des ocelles (les points noirs sur les ailes antérieures) et n’a pas les bandes foncées proches du corps qu’a le mâle.

Le myrtil, Maniolia jurtina, femelle© CACP – Emilie Périé

On peut aussi les différencier grâce au dessous des ailes. Sur la lavande c’est une femelle, on le voit à  la bande blanche très marquée sur l’aile postérieure qu’on distingue moins bien chez le mâle.

Le myrtil, Maniola jurtina, mâle © CACP – Alexandra Marques

Chez cette espèce les ocelles sont variables. Ils peuvent contenir deux points blancs (femelle ci-dessus) ou un seul (femelle ci-dessous).

Le myrtil, Maniolia jurtina, femelle © CACP – Emilie Périé

Le myrtil est une espèce très commune qu’on rencontre tout l’été dans les milieux herbacés partout en France. La chenille (toute poilue!) se nourrit de diverses graminées et l’adulte butine sur des fleurs variées. Ici trois exemples de plantes que l’on rencontre dans les prairies, les champs ou les jardins : l’origan, la lavande et le cirse des champs.

La chenille du myrtil © CACP – Gilles Carcassès

Sources :

Le myrtil, INPN

Le myrtil, par Quel est cet animal ?

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Petite mouche

Du fard à  paillettes ?

Gymnosoma sp. – Cergy © CACP – Emilie Périé

Vue sur une achillée millefeuille dans le parc du Hazay à  Cergy cet été, cette mouche est une Gymnosoma. S’il n’y a pas de doute quant à  son genre, il est revanche impossible de différencier les 13 espèces européennes sur photo. Mais, n’ayant aucune volonté de la disséquer je m’en tiendrai à  Gymnosoma sp.

En revanche, la pruine (sorte de poudre) dorée que l’on voit sur sa face et son scutellum (dos) nous indique qu’il s’agit d’un mâle.

Toute nue !

Gymnosoma sp. – Cergy © CACP – Emilie Périé

Etymologiquement, « gymnosoma » signifie « au corps nu ». Cela fait référence au fait que, à  la différence des autres espèces de la famille des Tachinidae, les mouches Gymnosoma n’ont pas de soies fortes (de grands poils) hérissant l’abdomen.

La mouche coccinelle

Gymnosoma sp. – Cergy © CACP – Emilie Périé

Se promenant sur les fleurs d’achillée, Monsieur Gymnosoma se montre sous toutes ses faces. Avec son abdomen arrondi, orange à  pois noirs il rappelle un peu une coccinelle. Mais la ressemblance s’arrête là . Les adultes de Gymnosoma sont des butineurs, d’ailleurs notre modèle est en plein repas, alors que les coccinelles se nourrissent essentiellement de pucerons (même si certaines sont végétariennes). Les larves des mouches sont des parasites des punaises Pentatomidae (comme Palomena prasina) alors que celles des coccinelles sont de voraces consommatrices de pucerons.

Sources :

Insectes.org

Clé des tachinaires (en anglais), par Hans-Peter Tschorsnig et Benno Herting

Le gymnosome arrondi par Quel est cet animal ?

Retrouvez d’autres tachinaires (plus poilues) :

Ectophasia crassipennis

Peleteria iavana

Tachina fera

Zophomyia temula

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Les rapaces en vol

Bravo à  tous. Vous êtes nombreux à  avoir reconnu la buse variable.

Buse variable, Buteo buteo, en vol © CACP – Emilie Périé

En ombre chinoise

Le plus souvent, lorsque l’on voit un rapace c’est en vol, c’est-à -dire loin et à  contre-jour. Pas toujours facile d’identifier l’espèce qui nous passe au-dessus de la tête dans ces conditions. Heureusement les silhouettes sont assez caractéristiques et permettent de discriminer assez précisément l’oiseau, du moins pour les espèces connues en àŽle-de-France. Les ailes et les queues sont de bons indicateurs.

Caractéristiques de la buse variable en vol © CACP – Emilie Périé

La buse a de larges ailes digitées, les dernières plumes sont bien visibles, même de loin, comme les doigts écartés d’une main. Elle a une queue courte, comparativement à  la largueur de ses ailes et arrondie. A la différence des milans par exemple qui ont la queue fourchue. Sa silhouette se rapproche de celle de la bondrée apivore, également présente en àŽle-de-France mais qu’on peut reconnaitre à  la forme de sa tête et aux contrastes de son plumage (relativement difficile à  contre-jour).

Caractéristiques du faucon en vol © CACP – Emilie Périé

Les faucons ont eux des ailes en forme de faux et non digitées, elles sont bien pointues au bout et les dernières plumes ne se séparent pas. La queue est longue (toujours par rapport à  la largeur des ailes) et de forme rectangulaire lorsqu’elle est repliée. Les différents faucons d’àŽle-de-France se distinguent par le contraste de leurs plumages.

En couleurs

Dans quelques cas, la lumière et l’orientation de l’oiseau concordent pour voir les couleurs et identifier l’espèce.

Faucon crécerelle mâle, Falco tinnunculus © CACP – Emilie Périé

Malgré le peu de netteté de cette image, on reconnait ici un faucon à  la silhouette de l’oiseau, et son plumage (couleur claire, bas-ventre blanc, queue blanche avec une bande terminale noire) indique qu’il s’agit d’un faucon crécerelle mâle.

Au plus près

Pour les plus chanceux, l’oiseau est assez près pour que l’objectif en capte tous les détails.

Faucon crécerelle mâle en vol © CACP – Gilles Carcassès

Ici, le vol caractéristique du faucon crécerelle : lorsqu’il repère une proie il vole en surplace avant de plonger.

Buse variable en vol © CACP – Emilie Périé

La buse variable plane en cercles concentriques au-dessus de la proie qu’elle a repérée.

Encore plus chanceux, les oiseaux posés à  portée de clichés :

La buse variable

La faucon crécerelle

Le repas du faucon crécerelle