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Retours sur la fête de la nature 2021

Pour la 15ème édition de la Fête de la Nature nous avions concocté un programme varié bien qu’allégé, faute de conditions sanitaires plus favorables. Malgré la météo capricieuse les participants se sont montrés nombreux et motivés.

A la découverte des chauves-souris

L’anatomie d’une chauve-souris © CACP – Emilie Périé

Dans le parc du château de Menucourt, l’ambiance était à  la traque. Les participants, curieux, ont pu apprendre comment se développent les chauves-souris, leurs modes de vie, leurs alimentations, leurs cycles de vie, leur anatomie. Après avoir découvert sur fiche les 26 espèces présentes en France métropolitaine les apprentis explorateurs étaient impatients de partir à  l’écoute des chauves-souris du parc. Armés d’une Batbox (convertisseur d’ultrasons) les 10 participants ont fait le tour de l’étang. Malheureusement, le couvre-feu obligeant un horaire d’animation assez tôt dans la soirée les chauves-souris n’étaient pas encore de sortie. A défaut de les observer, les participants ont pu s’essayer à  la chasse aux insectes à  travers le regard d’une chauve-souris et tester l’utilisation de l’écholocation lors d’un jeu de rôle (insectes et chauve-souris).

Chauve-souris en vol © CACP – Emilie Périé

Une animation programmée depuis plusieurs éditions et qui rencontre toujours un fort succès auprès des apprentis explorateurs. Merci à  la Ferme d’Ecancourt !

Arpentage biodiversité

La commune de Saint-Ouen l’Aumône proposait à  ses habitants avec l’aide du CAUE95 et de la CACP, un arpentage le long de la coulée verte, site naturel protégé où la nature est fortement présente. Les participants ont ainsi été amenés à  réfléchir et s’exprimer sur les valeurs qu’ils accordent à  la biodiversité et sur les aménagements du site allant en faveur de ces principes. Une activité de partage ludique où les participants ont également pu s’initier aux chants d’oiseaux et à  la reconnaissance de certaines plantes comme le cerfeuil des bois.

Réflexion autour du ru de Liesse © CAUE95 – Christiane Walter

Le CAUE95 proposera dans quelques semaines un bilan des expressions des participants ainsi qu’une synthèse des espèces rencontrées sur le site.

A travers mille et un regards, mais surtout le vôtre

Cette édition sous le thème, « A travers mille et un regards » aura également permis à  tous les usagers de s’impliquer dans l’observation de la faune et flore avoisinante en participant à  l’Atlas de la biodiversité de Vauréal ou à  celui de l’Agglomération de Cergy notamment dans le cadre de l’enquête sur les hirondelles et martinets de l’agglomération.

En bleu, les observations d’hirondelles et martinets

Concernant l’identification des hirondelles et martinets, il vous reste jusqu’au 30 juin pour nous faire part de vos découvertes et peut-être remporter le concours. Vous ne savez pas différencier les hirondelles et martinets ? Pas de panique, retrouvez dans cet article quelques indices pour vous en sortir !

Quant à  l’application Explorama, elle a su séduire quelques intéressés, qui, malgré les conditions climatiques, ont relevé le défi au sein de l’île de loisirs de Cergy-Pontoise. Ce parcours reste à  disposition tout l’été pour les retardataires qui veulent s’y essayer !

Apprentis fermiers

La ferme pédagogique de Pontoise et l’association les Z’herbes folles ont rassemblé une dizaine d’enfants et leurs parents afin de découvrir la biodiversité de la ferme de manière ludique et enrichissante.

Apprenti fermier © CACP – Emilie Périé

Pour en découvrir plus sur La place des fermes pédagogiques dans l’environnement et au delà , inscrivez-vous au colloque proposé par l’association en septembre prochain !

Rendez-vous l’année prochaine pour la 16ème édition !

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A pompons : suite et fin

Clôturons notre série sur les plantes épineuses à  pompons roses avec ce cliché d’un chardon-Marie pris par Gilles il y a une dizaine d’années.

Silybum marianum, le chardon-Marie © CACP – Gilles Carcassès

Ce chardon, qui est d’une famille proche de celle des chardons Carduus mais toutefois différente, est plutôt originaire du milieu méditerranéen. On le rencontre sporadiquement sur le reste du territoire français dans des zones non cultivées, comme les friches ou les bords de chemin.

D’après les ressources bibliographiques botaniques, cette espèce, comme la plupart des chardons que nous avons déjà  présentés, était consommée pour ses feuilles.

Le pompon est l’un des plus gros de la série. L’involucre, l’ensemble des bractées épineuses, mesure plus de 3 cm de diamètre.

Astéracées, jamais assez

Voilà  qui termine la présentation des plantes sauvages de la famille des Astéracées connues en àŽle-de-France dont les fleurs sont roses et assemblées en pompon et qui portent des épines :

Mais la grande famille des Astéracées comporte bien d’autres membres. Certains ont également des fleurs roses, mais pas d’épines, comme les centaurées ou l’eupatoire. D’autres sont entièrement jaunes. Et d’autres encore sont bicolores.

Notre prochaine série portera sur les cousines de la pâquerette.

Sources :

Le site TelaBotanica

Le site FLORIF

Le dictionnaire étymologique de la flore française, par JP Ferrari

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Abeilles-coucous, les Nomada

Abeille du genre Nomada – Puiseux-Pontoise © CACP – Emilie Périé

Malgré ses allures de guêpes avec son corps élancé et ses couleurs vives, cet insecte est bien une abeille. C’est même une abeille-coucou. C’est une abeille parasitoà¯de qui, comme le coucou chez les oiseaux, pond ses œufs dans le nid d’autres abeilles (notamment les Andrènes) et dont la larve consomme les ressources mises à  disposition des larves initiales et parfois même les larves elles-mêmes.

Parmi les abeilles-coucous, le genre Nomada, en photo ici, est celui qui est le plus représenté, avec plus d’une centaine d’espèces en Europe. Sur image l’identification s’arrêtera au genre. La détermination de l’espèce demande une observation minutieuse (à  la loupe !) de plusieurs détails du corps de l’insecte.

Abeille du genre Nomada – Vauréal © CACP – Gilles Carcassès

Le nom « Nomada » vient certainement du comportement des femelles, sans cesse en mouvement. On peut en effet les observer parcourir les pelouses et les terrains nus, au ras du sol, à  la recherche d’un nid à  occuper.

Les adultes, mâles et femelles, se nourrissent de nectar. Ils participent ainsi à  la pollinisation d’espèces variées de plantes. On les rencontre fréquemment dans les collections SPIPOLL, et sont relativement facile à  reconnaître grâce à  leurs teintes franches de rouge, noir, jaune et blanc.

Sources :

Guide des abeilles, Edition Delachaux

Clé de détermination du genre Nomada, par Jan Smit (en anglais)

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La passerage drave

Elles sont en fleurs en ce moment, notamment à  l’île de loisirs de Cergy-Pontoise : les passerages draves, ou Lepidium draba.

Lepidium draba – Cergy © CACP – Emilie Périé

Lepidium draba est la plus commune des 10 passerages connues en àŽle-de-France. Ses fleurs blanches sont rassemblées en grappes serrées. Les 4 pétales de chaque fleurs sont disposés en une croix régulière, typique de la famille des Brassicaceae (anciennement Crucifères).

Fleurs de Lepidium draba – Cergy © CACP – Emilie Périé

Ses feuilles sont pubescentes et embrassent la tige par deux oreillettes.

Feuilles de Lepidium draba – Cergy © CACP – Emilie Périé

Les fruits de la passerage sont de petites silicules (petites gousses) en forme de cœur.

Silicules de Lepidium draba – Maurecourt © CACP – Emilie Périé

C’est une espèce qui apprécie les sols légèrement humides et argileux mais s’adapte bien à  des sableux pour peu qu’ils soient suffisamment riches en azote. Elle fait partie des plantes qui ont profité des pratiques intensives du siècle dernier et de l’eutrophisation des sols, ses populations sont plutôt en augmentation.

Sources :

La flore d’àŽle-de-France, par Philippe Jauzein et Olivier Nawrot

Fiche de Lepidium draba par TelaBotanica

Agenda

Journée internationale pour la diversité biologique

Demain, 22 mai, sera la journée internationale pour la diversité biologique.

Cette journée a été proclamée il y a 20 ans par l’Assemblée générale des Nations Unies pour créer une nouvelle opportunité de sensibiliser et d’exposer au plus grand nombre les enjeux liés à  l’effondrement de la biodiversité. La date du 22 mai a été choisie en référence à  la date d’adoption de la Convention pour la Diversité Biologique, le 22 mai 1993, dont les objectifs sont la protection de la diversité biologique et le partage juste et équitable des ressources qui en découlent à  l’échelle mondiale.

Le thème pour cette 20ème édition est « Nous faisons partie de la solution« . Il fait suite au thème de l’année précédente « Nos solutions sont dans la nature » pour rappeler que, au-delà  de nos innovations technologiques, nos dépendons entièrement d’écosystèmes naturels sains et fonctionnels pour assurer la majeure partie de notre cycle de vie.

Cette journée particulière est l’occasion de se renseigner sur la biodiversité qui nous entoure et sur les moyens qu’on peut mettre en œuvre pour la protéger.

Célébrons ensemble la nature !

Qui dit journée internationale dit aussi célébration. Et cela tombe bien, cette semaine en France c’est la Fête de la Nature ! Retrouvez le programme des animations proposées à  Cergy-Pontoise.

Vous pouvez aussi partager vos expériences et observations de nature sur l’ensemble des réseaux sociaux avec le #IcelebrateNature ! La biodiversité est riche, les occasions ne manquent pas !

Pour aller plus loin :

La Journée internationale pour la diversité biologique sur le site de l’ONU

Le site de la Fête de la Nature

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L’atlas fait peau neuve

Joyeux anniversaire !

Pour fêter sa première année, l’Atlas de la biodiversité de Cergy-Pontoise se remet à  jour et offre plus de libertés !

© CACP

Vous pouvez maintenant participer aux enquêtes ciblées sur le territoire et signaler toutes les autres espèces qui vous paraissent importantes à  indiquer. L’onglet « Je participe! » ouvre le formulaire de saisie dans lequel vous pouvez choisir l’une ou l’autre des enquêtes.

© CACP

Les données de 2020 ne sont plus visibles en ligne mais elles sont précieusement conservées pour les suivis à  venir !

Deux enquêtes en cours

Faucon crécerelle et sa proie © CACP – Emilie Périé

Cette année, nous vous proposons deux suivis participatifs. L’un sur les rapaces, l’autres sur les hirondelles et martinets (avec une récompense à  la clé) !

Hirondelles de fenêtre dans un nid artificiel – Vauréal © CACP – Emilie Périé

Du nouveau sur Facebook !

Pour accompagner ces suivis nous vous proposons de nous retrouver sur le groupe Facebook « Biodiversité à  Cergy-Pontoise« . Vous pourrez y partager vos observations ou questionnements concernant la biodiversité et y trouver de nombreuses informations concernant les activités sur le territoire.

© CACP

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Le martinet noir

Sans pieds … ?

Le martinet noir © CACP – Gilles Carcassès

Le martinet noir est ce bel oiseau estival que l’on entend crier joyeusement au-dessus de nos têtes dès le début du mois de mai et jusqu’au mois d’aoà»t. Son plumage est noir à  l’exception d’une petite tache blanche sur la gorge. Mais on l’identifie plus facilement à  sa forme : de grandes ailes en forme de faux et une queue légèrement échancrée pouvant se déplier en éventail.

Le martinet appartient à  la famille des Apodidés, son nom scientifique Apus apus signifie littéralement « sans pieds ». En effet, ses pattes sont extrêmement réduites. Elles se résument à  un pied griffu collé à  son corp. Cette griffe lui permet de s’accrocher aux parois verticales au moment d’entrer dans son nid, qui doit donc être suffisamment en hauteur pour lui permettre de s’élancer dans les airs sans avoir à  se propulser sur des pattes inexistantes.

Donc toujours en l’air !

Martinets noirs en vol © CACP – Emilie Périé

Cette absence de pattes n’est pas un handicap mais plutôt une optimisation pour l’adaptation à  la vie en l’air. En effet, le martinet ne se pose jamais ! A l’exception de la couvée des œufs et du nourrissage des petits qui obligent les parents à  entrer dans un nid et donc à  s’arrêter un instant. Tout le reste de l’année le martinet profite des grands espaces aériens où il exécute ses impressionnantes voltiges.

Il vole en moyenne à  35 km/h mais peut dépasser les 110 km/h pendant ses rondes territoriales ! Ses pirouettes lui permette de passer le ciel à  l’épuisette et de se nourrir de toutes sortes d’insectes volants. Le ravitaillement en eau se fait également en vol, sur le mode des avions canadairs. Quant à  son sommeil… eh bien lui aussi se passe tout là -haut ! Le martinet est capable, comme les poissons, de ne dormir que d’un hémisphère cérébral à  la fois. Il peut donc maintenir son vol et sa concentration sur son environnement même au cœur de la nuit.

Et jamais seul

Groupe de martinets noirs © CACP – Emilie Périé

Il vaut mieux qu’il soit alerte car les martinets sont des oiseaux sociaux. Ils voyagent et vivent en groupe. Eviter les carambolages demande une certaine adresse.

Une bonne centaine de martinets survolaient les étangs de l’île de loisirs ce jour-là . Et d’autres groupes batifolent au-dessus de l’agglomération. Les avez-vous vus ? Dites-le nous dans l’Atlas de la Biodiversité de Cergy-Pontoise !

Pour aller plus loin :

Suivez un couple de martinets pendant la reproduction avec les équipes de La Salamandre

Les vidéos du Professeur Jean-François Cornuet pour observer les martinets en vol

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Petit pic

Pic épeichette, Dryobates minor – Cergy  © CACP – Emilie Périé

Le pic épeichette est le plus petit des cinq pics présents en àŽle-de-France. Il a une taille comparable à  celle d’un moineau.

On le différencie des autres pics noirs, blancs et rouges, les pics épeiche et mar par sa taille d’une part, ses couleurs et son signal sonore. Il est en effet distinctement plus petit que les deux autres. Son dos est rayé de blanc, alors que les autres sont entièrement noirs. Sa tête porte une petite calotte rouge, alors que le pic épeiche n’a que la nuque rouge (pour le mâle) et le pic mar a une calotte beaucoup plus couvrante. Côté son, comme ses comparses le pic épeichette tambourine sur les troncs pour marquer son territoire et attirer un partenaire. Le tambourinage est sensiblement plus long que celui du pic épeiche et moins sonore que celui du pic noir.

Pic épeichette, Dryobates minor – Cergy  © CACP – Emilie Périé

Le pic épeichette est insectivore. Il chasse ses proies dans les bois fins et tendres. Ici il était occupé à  vider le contenu d’une galle de rosier chevelu.

Il illustre dans cette pose une autre caractéristique des pics. Les plumes de leur queue sont très rigides, ils peuvent ainsi s’en servir d’appui pour grimper le long des troncs.

Les quatre autres pics :

Le pic épeiche

Le pic mar

Le pic vert

Le pic noir

Agenda

Fête de la Nature 2021 – le programme

En dépit du contexte, la nature continue à  évoluer. La Fête de la Nature aura donc lieu ; en version adaptée, certes, mais bel et bien lieu du 19 au 23 mai prochain. Le thème de l’année est A travers mille et un regards. Découvrons le programme à  Cergy-Pontoise !

A travers le regard d’un apprenti-fermier, d’un jardinier ou d’un pêcheur

Apprenti-fermier © CACP – Emilie Périé

La ferme pédagogique de Pontoise et l’association les Z’herbes folles proposent aux apprentis-fermiers de 18 mois à  3 ans de découvrir la biodiversité agricole le mercredi 19 mai de 15h00 à  16h00. 10 places ouvertes. Informations pratiques ici.

La Ville de Vauréal, vous propose le mercredi 19 mai, de plonger au cœur des jardins de la ville et d’apprécier les différentes techniques de permaculture (bouturage, rempotage). L’occasion pour vous de repartir avec votre pied de menthe et de basilic, ou encore d’apprécier une dégustation de tisane ainsi qu’une présentation de recettes à  base de plantes aromatiques.

Les animateurs de la Maison de la Jeunesse (Vauréal) et de la Fédération de Pêche du Val d’Oise quant à  eux, auront le plaisir de vous faire découvrir les milieux aquatiques le mercredi 19 mai de 13h30 à  16h30. Informations pratiques ici.

Dans les yeux d’une abeille

Rucher de Vauréal © ARB-idf – Myriam Boulouard

Le samedi 22 mai de 10h à  12h, venez observer le rucher municipal de la Ville de Vauréal, et le travail des abeilles en présence d’un apiculteur qui répondra à  toutes vos questions. Informations pratiques ici.

Chaussez les lunettes d’un naturaliste

A la découverte des chauves-souris de Menucourt

Dessin de chauve-souris © CACP – Emilie Périé

Le Vendredi 21 mai de 19h à  21h, la Ferme d’Ecancourt et la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, vous invitent à  explorer le parc du château de Menucourt et partir à  la rencontre des chauves-souris grâce à  une Batbox (appareil détectant les ultrasons). Lors de cette soirée, il sera notamment question d’approfondir vos connaissances sur ces mammifères nocturnes à  travers des ateliers ludiques. 10 places ouvertes. Informations pratiques ici.

Parcours autonomes

Ile de loisirs de Cergy-Pontoise © CACP – Emilie Périé

Grâce à  l’application Explorama, explorez tout au long de la semaine la biodiversité présente sur l’île de loisirs de Cergy et les zones humides du parc de Grouchy à  travers un véritable jeu de piste en toute autonomie. Informations pratiques ici.

Mille et un regards, mais surtout le votre !

Tout au long de la semaine faites nous part de vos découvertes en identifiant la faune et flore qui vous entoure.

La Ville de Vauréal vous propose à  cette occasion de contribuer à  l’atlas de la Biodiversité de Vauréal en inventoriant et cartographiant la faune et la flore observées sur Vauréal. 

La Communauté d’Agglomération de Cergy-Pontoise vous invite quant à  elle à  participer à  un concours en contribuant également à  l’Atlas de la Biodiversité de Cergy-Pontoise. Pour cela rien de plus simple, levez les yeux au ciel et soyez attentifs au moindre chant d’oiseau, notamment à  ceux des hirondelles et martinets.

Retrouvez les éditions précédentes :

Edition 2019

Edition 2018

Edition 2017