Pour la photo mystère de ce mois-ci, trois éléments sont à identifier sur cette photo prise à côté du Verger à Cergy :
- Qui sont donc ces oiseaux ?
- Combien sont-ils ?
- Et que sont-ils donc en train de manger ?
À lundi pour la réponse !
Pour la photo mystère de ce mois-ci, trois éléments sont à identifier sur cette photo prise à côté du Verger à Cergy :
À lundi pour la réponse !
Continuons sur notre lancée de « Question pour un Bota-Champion » pour aujourd’hui essayer de trouver une curieuse plante des bords de cultures, friches, décombres, cimetières et autres habitats rudéralisés…
Ci-dessous une situation qui pourrait convenir à notre plante mystère, accompagnée de son cousin le coquelicot.
Même si au premier regard cela ne pourrait pas sembler évident, je fais partie de la famille des Papaveraceae.
Je suis une plante herbacée indigène en Ile-de-France et je me développe dans les milieux à tendance sèche et calcaire.
Ma taille est comprise entre 20 et 60 centimètres de haut.
Je produit des longues grappes dressées de petites fleurs en tubes roses.
Mes feuilles sont fortement découpées et de couleurs vertes ou glauques.
Mon nom assez atypique proviendrait des propriétés lacrymogène de ma sève.
Si ce n’est mes fleurs d’une couleur différente et mes feuilles moins divisées, je ressemble beaucoup à ma cousine la corydale jaune.
À lundi pour la réponse !
Afin de faire suite à notre photo mystère de février 2023 dans le même thème, notre photo mystère d’avril portera à nouveau sur le concept inspiré de « Question pour un Bota-Champion » de Tela Botanica.
Saurez-vous découvrir cette plante typique des friches, jachères et bords de chemins campagnards ?
Je fais de nouveau partie de la deuxième plus grande famille végétale au monde.
Je m’installe préférentiellement dans des milieux secs et enfrichés à tendances nitrophiles.
Si les conditions sont favorables, je peux atteindre 1 mètre de haut.
Mes belles inflorescences de fleurs ligulées allant du bleu au violet apparaissent au mois de juillet et disparaissent en octobre.
Mes feuilles sont de forme variable, certaines sont entières et d’autres plus ou moins lobées ou dentées.
La plupart des mes parties végétatives sont plus ou moins pubescentes ou hispides.
Je suis une plante très connue pour mes usages officinaux et mon utilisation comme substitut au café.
Qui suis-je ?
À mercredi pour la réponse !
Qui suis-je ? Un indice : c’est écrit sur mon dos.
A lundi pour la réponse !
Pour la photo mystère de ce mois-ci nous vous proposons un nouveau format, inspiré d’un jeu lancé par Tela Botanica, la plateforme en ligne de botanique : Question pour un bota’champion. Il consiste en la rédaction de fiches descriptives des espèces accompagnées de leurs cartes questionnaires afin de faire deviner une plante, et bien sûr de mieux la connaître.
Voyons si les indices suivants vous permettent de reconnaître cette plante très commune de nos campagnes :
Je fais partie de la deuxième plus grande famille végétale (en nombre d’espèces connues dans le monde).
Je suis une plante très communes sur les bords de chemins et friches de l’agglomération.
Ma hauteur est comprise entre 60 et 120 centimètres.
Je fais profiter de nombreux insectes de ma floraison à partir de juillet et ce jusqu’à octobre.
Mes inflorescences jaunes sont composées de fleurs exclusivement tubulées, ce qui donne l’impression que je n’ai pas de pétales.
Mes longues feuilles sont fortement découpées, lobées et dentées.
J’émane une odeur camphrée depuis mes fleurs, mes fruits et mes feuilles.
J’ai été introduite sur le territoire européen par les tribus barbares comme celle des Huns notamment pour mes usages médicinaux reconnus.
Qui suis-je ?
À lundi pour la réponse !
Mais qui a mangé cette pomme de la sorte ?
A lundi pour la réponse !
Qui se cache derrière une feuille de lampsane ?
Ce petit cachotier nous montre ses genoux…
A lundi pour la réponse !
Envoyez nous vos suggestions par mail à biodiversite@cergypontoise.fr ou sur la page Facebook dédiée, la rubrique « commentaires » n’est pas encore rétablie.
Bravo à Anne, Lucas et Murielle, qui ont réussi à percer le mystère ! C’était en effet une corneille juvénile.
La corneille noire est un grand oiseau très commun de la famille des CORVIDAE. Elle est sédentaire sur notre territoire et niche dans les hauteurs des grands arbres. Son régime alimentaire se constitue principalement d’insectes, de vers de terres et de petits vertébrés, elle se nourrit également de carcasses d’animaux.
Cet oiseau est souvent confondu avec un de ses proches cousins, le corbeau freux (Corvus frugileus), en effet il peut s’avérer difficile de les différencier l’un de l’autre lorsqu’ils sont en vol ou à longues distances. Mais au moins deux types de critères sont importants à prendre en compte, l’habitat où l’oiseau est rencontré et son physique.
Concernant l’habitat, la corneille noire est habituée aux milieux ouverts et semi-ouverts comme les champs, les petits boisements, les parcs, les grands jardins…, alors que le corbeaux freux favorise essentiellement les champs cultivés et les grandes plaines. Pour le physique il existe un important critère déterminant, le bec. La corneille possède un bec arqué et complètement noir tandis que le corbeau a un bec pâle/gris clair à la base et bien droit.
Au vu de la raréfaction des grandes zones ouvertes et des vastes champs cultivés, il peut se montrer assez compliqué d’observer des corbeaux freux, au contraire de la corneille qui est assez abondante.
Pour en revenir à notre corneille juvénile, il faut savoir qu’il est fréquent d’en trouver courant juin/juillet, perchés dans des arbres ou arbustes sans qu’ils ne bougent de trop pendant de longues périodes. En effet les jeunes, bien qu’ils soient pour certains déjà capables de voler, sont accompagnés et nourris par leur parents pendant un certain temps après avoir quitté le nid. Donc aucune inquiétude dans le cas où vous en croiseriez un qui ne bouge pas de son perchoir, il ne fait qu’attendre le retour de ses parents pour avoir de quoi se remplir l’estomac.
Guide Delachaux : Le guide orintho
Oiseaux.net : Le corbeau freux, la corneille noire.
Mais qui se cache dans cette aubépine au bassin de la sente des prés à Eragny ?
à€ lundi pour la réponse.
Qui est là ?
A lundi pour la réponse.