L'actualité des jardins

Accros à  la renouée

Aux grands jardins à  Courdimanche le 18 juillet 2014 © Gilles Carcassès
Aux grands jardins, à  Courdimanche, le 18 juillet 2014 © Gilles Carcassès

La ville de Courdimanche a demandé cet été à  la Ferme d’Ecancourt d’expérimenter, aux Grands jardins, la lutte contre la renouée du Japon par le pâturage. Cette plante vivace invasive prolifère en effet dans un secteur de ce bel espace naturel. Les brebis Solognotes voudront-elles de cet herbe-là  ? Les tests effectués à  la ferme ayant montré que l’appétibilité semblait suffisante, il a été décidé de tenter l’expérience sur le terrain avec un petit troupeau de quatre brebis et de mettre en place un protocole de suivi.

Juste avant l’arrivée des ovins, une grande touffe de renouée a été fauchée, d’autres touffes ont été laissées entières et enfin un enclos a été installé autour d’une touffe témoin fauchée dont on pourra mesurer la repousse à  l’abri de la gourmandise des animaux.DSC01057

Un mois plus tard, que constate-t-on ? Si la touffe témoin atteint 80 cm de haut, toutes les autres renouées ont été broutées : les jeunes repousses comme les feuilles des hautes tiges. Les piquets, visibles sur la photo ci-dessus, devaient servir à  mesurer la hauteur de repousses de renouées…

La touffe témoin a bien profité des plus du mois d'aoà»t © Gilles Carcassès
La touffe témoin a bien profité des pluies du mois d’aoà»t © Gilles Carcassès
La Ferme d'Ecancourt vient d'acquérir des chêvres des fossés © Gilles Carcassès
La Ferme d’Ecancourt vient d’acquérir des chèvres des fossés, une race bretonne réputée pour sa rusticité et sa docilité © Gilles Carcassès

L’an prochain, il est prévu de poursuivre l’expérimentation et de tester l’efficacité des chèvres.

http://inccomestiblescourdimanche.wordpress.com/2014/08/16/gloria-la-chevre-des-fosses-acompagnee-de-solognotes/

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Un cimetière écologique à  Courdimanche

 © Gilles Carcassès
Ceci n’est pas un photomontage © Gilles Carcassès

Décision courageuse de la ville de Courdimanche : plus de désherbants au cimetière ! Le service Espaces verts de la commune a relevé le défi. Des rouleaux de pelouse ont été soigneusement installés au printemps et l’allée principale refaite de neuf.

Finis les gravillons à  désherber, place au tapis vert !

Le cimetière de Courdimanche l'an dernier © Gilles Carcassès
Le cimetière de Courdimanche l’an dernier © Gilles Carcassès
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Changement de pâture à  Vauréal

Les brebis, ayant pâturé tout l’été au parc du Belvédère, ont été demandées en renfort sur une autre prairie boulevard de l’Oise. Le transfert s’est effectué à  pieds et a été l’occasion d’animations confiées par la Maison de la nature de Vauréal à  la Ferme d’Ecancourt.

 © Gilles Carcassès
Le troupeau rassemblé est prêt pour le départ du marathon de Vauréal… © Gilles Carcassès
 © Gilles Carcassès
… sauf la bien nommée Casse-Tartine qui fera le voyage dans la remorque © Gilles Carcassès
Une belle rencontre sur le chemin : un orvet  © Gilles Carcassès
Une belle rencontre sur le chemin : un orvet © Gilles Carcassès
Et vous trouvez ce dessin ressemblant ?  © Gilles Carcassès
« Et vous trouvez ce dessin ressemblant ?  » © Gilles Carcassès
Julien explique la tonte des brebis à  un public médusé par son talent de mime  © Gilles Carcassès
Julien explique la tonte des brebis à  un public médusé par son talent de mime © Gilles Carcassès
Mais une funambule de passage viendra voler la vedette en fin de séance © Gilles Carcassès
Mais une funambule de passage viendra lui voler la vedette en fin de séance © Gilles Carcassès

La vidéo de la tonte

http://www.ferme.ecancourt.fr/blog/

http://www.vaureal.fr/content/des-moutons-a-vaureal

http://www.vaureal.fr/content/programme-des-animations-maison-nature

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Amaryllis, petit paradis

promesse de courges
Une belle promesse de courges © Gilles Carcassès

La résidence Amarillys, dans le quartier de la Croix-Petit à  Cergy est gérée par le bailleur social Efidis. Son jardin intérieur est le théâtre d’expériences participatives : un jardin partagé, du compostage collectif, des animations proposées par des partenaires associatifs.

composteurs
Dans la pelouse qui héberge les composteurs, l’observation de nombreuses abeilles butinant les fleurs de trèfle rampant a conduit à  la décision de leur épargner cet été la tondeuse © Gilles Carcassès

 

Samira à  la bêche
Samira à  la bêche © Gilles Carcassès

Le bailleur a offert de beaux outils de jardinage. Et deux baignoires de récupération ont été transformées par les résidents en jardinières magiques.

Francine au tuyau
Francine au tuyau © Gilles Carcassès

Une habitante du deuxième étage a semé des pieds de tomates sur son balcon : les voilà  vivement transplantés au potager partagé.

Les premiers occupants de l'hôtel à  insectes
Détail de l’hôtel à  insectes © Gilles Carcassès

La Ferme d’Ecancourt a aidé à  la création collective d’un hôtel à  insectes. L’équipement a plu : des abeilles sauvages ont installé leur nid dans plusieurs trous des bà»ches percées et ont rebouché l’ouverture avec un mortier dont elles ont le secret.

Dans ce jardin, une belle dynamique s’est installée et les projets ne manquent pas : une prairie fleurie, des ruches, un poulailler pour la sensibilisation des enfants à  la lutte contre le gaspillage alimentaire…

Un programme d’accueil personnalisé des locataires récompensé par un trophée de développement durable

 

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Florilèges : communes pilotes de Cergy-Pontoise

 Trois communes de l’agglomération de Cergy-Pontoise (Eragny-sur-Oise, Menucourt et Vauréal) se sont portées volontaires pour tester le protocole de relevé botanique du programme de sciences participatives « Florilèges », initié par Plante & Cité, le Museum National d’Histoire Naturelle, l’Observatoire Départemental de Seine Saint-Denis et Natureparif au printemps 2014.

La brunelle (Prunella vulgaris). © Marion Poiret
Brunelle commune (Prunella vulgaris). © Marion Poiret

 Nos communes pilotes ont effectué leurs inventaires botaniques entre juin et juillet. Rappelons que ce protocole expérimental a pour vocation d’améliorer la connaissance de la flore spontanée en ville et de devenir un outil de suivi de l’évolution de la biodiversité des prairies urbaines pour les gestionnaires d’espaces verts.

Mise en oeuvre du protocole d'observation des prairies urbaines à  Eragny-sur-Oise par le service des espaces verts de la commune en collaboration avec la cellule biodiversité de Cergy-Pontoise. © Marion Poiret
Mise en oeuvre du protocole d’observation des prairies urbaines à  Eragny-sur-Oise par le service des espaces verts de la commune en collaboration avec la cellule biodiversité de la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise. © Marion Poiret

 La forme et la taille de la parcelle de prairie détermine la disposition des carrés d’inventaire. Après avoir délimité deux lots séparés de 5 carrés de un mètre par un mètre à  l’aide de piquets et d’un décamètre, le recensement peut commencer.

Schéma d'organisation des carrés d’inventaire sur la prairie d'Eragny-sur-Oise. Le protocole sera répété chaque année, au même endroit (même prairie, mêmes carrés) d’où l’importance d’identifier des points de repères dans la prairie. Afin de pouvoir suivre l’évolution de la flore, les lots et les carrés sont également numérotés.
Schéma d’organisation des carrés d’inventaire sur la prairie d’Eragny-sur-Oise. Le protocole scientifique sera répété chaque année, au même endroit (même prairie, mêmes carrés) d’où l’importance d’identifier des points de repères dans la prairie. Afin de pouvoir suivre l’évolution de la flore, les lots et les carrés sont également numérotés.

Ce relevé botanique fut fort instructif puisque parmi les grands classiques des prairies urbaines (comme le trèfle blanc, le dactyle aggloméré, le plantain lancéolé ou la brunelle), se trouvaient aussi l’érythrée petite centaurée et la chlore perfoliée, des espèces communes et bien représentées en Ile-de-France mais néanmoins pas si fréquentes dans les prairies en secteur urbanisé.

Millepertuis perforé, Hypericum perforatum. © Marion Poiret
Millepertuis perforé (Hypericum perforatum). © Marion Poiret
La petite pimprenelle, Sanguisorba minor. © Gilles Carcassès
Pimprenelle (Sanguisorba minor). © Gilles Carcassès
Chlore perfolié, Blackstonia perfoliata © Gilles Carcassès
Chlore perfoliée (Blackstonia perfoliata) © Gilles Carcassès
L'erythrée, Centaurium erythraea. © Marion Poiret
Erythrée petite centaurée (Centaurium erythraea). © Marion Poiret

 En 2015, à  l’issue de cette phase pilote et des adaptations éventuelles du protocole, le programme Florilèges pourra être diffusé à  l’échelle nationale et mis en œuvre par tous les gestionnaires d’espaces verts (collectivités et entreprises).

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Le choix de la prairie

Le demi-deuil (Melanargia galathea) sur une fleur de centaurée : un spectacle classique des prairies © Gilles Carcassès
Le demi-deuil (Melanargia galathea) sur une fleur de centaurée : un spectacle classique des prairies © Gilles Carcassès

Pour favoriser la biodiversité de leurs trames vertes, et en application des principes de gestion différenciée des espaces verts, les collectivités conduisent souvent certains de leurs espaces herbeux en prairies plutôt qu’en pelouses régulièrement tondues. Se pose alors la question des modalités de gestion de ces prairies, notamment pour les dates des opérations de fauche. En ville, il faut bien considérer les contraintes locales et coordonner des objectifs parfois divergents.

Mais qu’appelle-t-on prairies ? Ce sont des espaces herbeux, dominés par les graminées, dans lesquels peuvent cohabiter de nombreuses plantes vivaces locales et quelques annuelles adaptées à  ce type de milieu. Pour conserver le caractère ouvert de ces espaces et empêcher l’arrivée des ronces, des arbustes et des arbres, il faudra effectuer au moins une fauche par an, ou entretenir par pâturage.

La sauge des prés est très appréciée des bourdons. © Gilles Carcassès
La sauge des prés, plante vivace des prairies, a de belle fleurs bleues appréciées des bourdons. © Gilles Carcassès

La faune sauvage qui bénéficie de la végétation de la prairie se portera très bien avec une seule fauche annuelle réalisée le plus tard possible en saison. Ainsi, une fauche tardive, classiquement réalisée en octobre, permet d’assurer le cycle de vie complet de la plupart des plantes jusqu’à  la maturation des graines, et favorise la reproduction des insectes qui leur sont associés.

Pour des raisons d’esthétique, d’usage ou de sécurité, une fauche intermédiaire peut être réalisée en été.  Il ne faut pas l’effectuer avant juillet : on ménagera ainsi la floraison des orchidées sauvages, et celle de nombreuses plantes vivaces sauvages qui font l’agrément et l’intérêt biologique des prairies pendant les mois de mai et de juin. Et pour une bonne production des graines de ces plantes, il est préférable d’attendre le 15 aoà»t. Après une fauche estivale, certaines vivaces de la prairie pourront faire une deuxième floraison à  l’automne, mais moins spectaculaire et sur des tiges moins hautes.

Une troisième opération de fauche est parfois ajoutée au printemps. Il faut alors prendre garde de l’effectuer avant la montée des tiges de ces plantes vivaces de prairies : pas après la fin avril en tout cas. Natureparif, dans son guide de gestion différenciée à  l’usage des collectivités préconise de ne pas faucher entre le 1er mai et le 15 aoà»t.

La prairie de la coulée verte à  Vauréal © Gilles Carcassès
La prairie de la coulée verte à  Vauréal © Gilles Carcassès

Il existe en fonction des types de sols et de l’exposition de nombreux types naturels de prairies. Sur notre territoire, les coteaux secs et pentus d’une part, et les zones inondables d’autre part fournissent les prairies les plus riches potentiellement en terme de biodiversité. L’entretien par le pâturage constitue un excellent moyen de développer le potentiel de biodiversité de ces espaces, qu’ils soient secs ou humides. Si l’on recourt au fauchage, il faut absolument exporter soigneusement les coupes pour ne pas enrichir le sol au risque de banaliser le cortège végétal. Le fauchage par barre de coupe (ou à  la faux pour les petits espaces) est bien plus respectueux de la vie de la prairie que le broyage mécanique. Enfin, le maintien d’une petite partie non fauchée permet de créer une zone refuge pour la faune qui ainsi pourra facilement recoloniser l’espace après les opérations d’entretien.

Une praire naturelle à  La Roche-Guyon. On devine sa composition : fromental, trèfle des prés, rhinanthe, campanule raiponce, centaurée jacée, orchis pyramidal, dactyle aggloméré, lotier corniculé... © Gilles Carcassès
Une praire naturelle à  La Roche-Guyon. On devine sa composition : fromental, trèfle des prés, rhinanthe, campanule raiponce, centaurée jacée, orchis pyramidal, dactyle aggloméré, lotier corniculé, silène enflé, sauge des prés… © Gilles Carcassès

Entretenir une prairie fleurie par Jardins de Noé

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Pour les amateurs de matériel

Un indicateur de qualité des prairies urbaines

La gestion écologique des espaces verts

L'actualité de la Nature, L'actualité des jardins

Le Grand centre à  la loupe

Lycaenidae
Un azuré (Lycaenidae) observé dans la friche des Chênes d’Or. Cette famille compte 5000 espèces dans le Monde, dont 65 en France. © CACP – Gilles Carcassès

Cergy-Pontoise Aménagement, en prévision de la restructuration du quartier Grand centre à  Cergy, a mandaté le bureau d’études Thema Environnement pour une grande étude sur la faune et la flore locale. La cellule biodiversité de la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise a eu l’honneur de participer avec les écologues du bureau d’études à  une journée de prospection de ce territoire.

Une très belle moisson d’observations. En voici un tout petit aperçu :

Orthetrum cancellatum
L’orthetrum réticulé (Orthetrum cancellatum) vu dans la friche des Chênes d’Or. On en a vu pondre il y a peu dans le bassin du parc François-Mitterrand © CACP – Gilles Carcassès
Chrysope
Une chrysope (Chrysopidae) avec ses beaux yeux mordorés et ses longues antennes roses. Photographie prise au parc François-Mitterrand © CACP – Gilles Carcassès
Psyllobora
La larve de la petite coccinelle jaune à  22 points (Psyllobora vingitiduopunctata) consomme le mycélium de l’oà¯dium qui parasite les feuilles de ce trèfle. On voit les zones qui ont été broutées. Photographie prise près du boulevard de l’Hautil © CACP – Gilles Carcassès
Arge
Cette tenthrède défeuillante du rosier (Arge ochropus) butine une fleur de persil au jardin partagé du Verger. Sa larve est un ravageur des rosiers. © CACP – Gilles Carcassès
Tephritis neesii sur une achillea filipendulina au Verger © Gilles Carcassès
Tephritis neesii femelle (ou espèce proche) sur une Achillea filipendulina au Verger © CACP – Gilles Carcassès
Cryptocephalus
Rien de meilleur qu’une jeune feuille de peuplier pour ce Cryptocephalus rufipes trouvé dans la friche des Chênes d’Or © CACP – Gilles Carcassès
Sicus
Une mouche conopide (Sicus probablement de l’espèce ferrugineus) sur une fleur de trèfle des prés dans la friche des Chênes d’Or. Cette espèce parasite les bourdons. © CACP – Gilles Carcassès
Le parc François-Mitterrand, très fréquenté, est inclus dans le périmètre d'étude. Plusieurs badauds intrigués par notre présence sont venus s'instruire de la Nature... © Gilles Carcassès
Le parc François-Mitterrand est très fréquenté. Plusieurs badauds intrigués par notre présence sont venus s’instruire des choses de la Nature… © CACP – Gilles Carcassès
L'actualité des jardins

Vauréal visitée par le jury départemental des villes fleuries

rosiers, croscosmia Lucifer et lavatères illuminent le cœur de ville © Gilles Carcassès
Rosiers, crocosmia Lucifer et lavatères, dans les espaces verts du cœur de ville © Gilles Carcassès

La commune de Vauréal a accueilli jeudi 3 juillet les membres du jury du concours départemental des villes fleuries. C’est la première participation de cette commune au concours.

Chaque année, seules les communes respectant l’ensemble des critères du label national des villes et villages fleuris sont proposées au jury régional pour une visite l’année suivante afin de statuer sur l’éventuelle attribution de la première fleur. Les conclusions du jury départemental seront dévoilées lors de la cérémonie de remise des prix, fin septembre.

Sur notre territoire de Cergy-Pontoise, quatre communes sont déjà  labellisées : Cergy et Pontoise ont 3 fleurs, Osny et Eragny ont 2 fleurs. Courdimanche joue sa première fleur cet été devant le jury régional, croisons les doigts…

Café d'accueil à  l'étage de l'hôtel de ville, avec vue sur les suspensions fleuries, dans les tons de l'architecture du quartier. © Gilles Carcassès
Café d’accueil à  l’étage de l’hôtel de ville, avec vue sur les suspensions fleuries. © Gilles Carcassès
les ch^nes verts devant l'hôtel de ville ont fait l'objet d'une taille douce de formation © Gilles Carcassès
Les chênes verts devant l’hôtel de ville ont fait l’objet d’une taille douce de formation © Gilles Carcassès
Le jury a visité la commune à  vélo. ceux-ci sont issus d'un atelier de réparation associatif. un moment de respiration sur la voie douce partagée du boulevard de l'Oise. © Gilles Carcassès
Le jury a pédalé sur des vélos issus d’un atelier de réparation associatif. Un moment de respiration sur la voie douce partagée du boulevard de l’Oise. © Gilles Carcassès
en longeant la noue du mail Mendès-France qui vient d'être rénové. © Gilles Carcassès
En longeant la noue du mail Pierre-Mendès-France qui vient d’être rénové. © Gilles Carcassès
Le parc du belvédère est en partie géré par pâturage grâce au partenariat avec la Ferme d'Ecancourt. Quelle vue sur la base de loisirs ! © Gilles Carcassès
Le parc du belvédère est en partie géré par pâturage par un partenariat avec la Ferme d’Ecancourt. Le belvédère offre une vue étendue sur la base de loisirs et Cergy. © Gilles Carcassès
Les prairies de la coulée verte qui descend jusqu'aux berges de l'Oise sont traversées de chemin de découverture tondus. © Gilles Carcassès
Les prairies de la coulée verte qui descend jusqu’aux berges de l’Oise sont traversées de chemins de découverte régulièrement tondus. © Gilles Carcasses

http://www.vaureal.fr/menu-principal/cadre-vie/developpement-durable

http://www.vaureal.fr/menu-principal/cadre-vie/environnement

 

 

 

Agenda, L'actualité des jardins

Gestion différenciée : la sortie annuelle du Réseau des parcs

Une fois de plus, le Parc naturel régional (PNR) du Vexin français, le PNR Oise-Pays de France et la cellule biodiversité de la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, ville porte de PNR du Vexin français, s’associent pour une journée de rencontres techniques de terrain sur le thème de la gestion écologique des espaces verts et naturels.

Au parc du château de Théméricourt  © Gilles Carcassès
Un pique-nique au parc du château de Théméricourt ? © Gilles Carcassès

Cette année, nous découvrirons plusieurs initiatives dans le Vexin. Le programme est en cours d’élaboration et ne peut encore être dévoilé. Mais il sera à  la hauteur de vos attentes : vous pourrez comprendre le bon emploi de plantes vivaces à  travers de superbes compositions faciles à  gérer, vous rencontrerez des équipes municipales hyper-motivées ; il sera aussi question de biodiversité et d’inventaires, et il y aura des surprises…

Amis jardiniers professionnels des communes concernées, retenez déjà  la date : le mardi 7 octobre 2014. Et n’oubliez pas de motiver vos élus pour vous accompagner ! Les modalités d’inscription vous seront précisées dès que le programme sera arrêté.

Retrouvez le compte-rendu de la précédente journée qui avait rassemblé une cinquantaine de jardiniers professionnels et d’élus, en cliquant sur l’image :6 juin 2013