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Journée mondiale des Légumineuses

C’est aujourd’hui ! La journée mondiale de la troisième plus grande famille d’angiospermes (plante à fleurs) au monde. Cette journée à échelle internationale est organisée par l’Assemblée générale des Nations Unies chaque année le 10 février depuis l’année internationale des légumineuses en 2016. Elle a pour but de sensibiliser sur l’importance de cette famille végétale.

Lathyrus tuberosus, la gesse tubéreuse – Cergy © CACP – Gilles Carcassès

Certains d’entre vous connaitrons cette famille sous le nom de Fabaceae ou Fabacées, mais il est également possible de l’appelée sous son ancien nom, la famille des Leguminosae ou bien Légumineuses. Comme pour la plupart des autres familles le nom de Fabaceae est basé sur un nom de genre ou d’espèce plus ou moins répandue. Dans le cas présent c’est l’espèce Vicia faba, la fève commune dont se sont inspirés les botanistes pour nommer la famille.

Anthyllis vulneraria, l’anthyllide vulnéraire – Maurecourt © CACP – Emilie Périé

Dans l’agriculture, les Fabacées sont utilisées ou cultivées de bien des manières. Les trèfles et les luzernes par exemples sont cultivés en tant qu’engrais vert pour leur faculté à fixer l’azote de l’air dans le sol grâce à leurs nodosités et en tant que fourrage pour leurs bonnes compositions calorifiques.

Medicago sativa subsp. sativa, la luzerne cultivée – Neuville-sur-Oise © CACP – Gilles Carcassès

Beaucoup d’espèces sont utilisées dans l’alimentation humaine, les fèves, les pois-chiches, les haricots, la réglisse, les pois, les lentilles et même l’incontournable soja font partie de la grande famille des Légumineuses.

Graines de Phaseolus coccineus, le haricot d’Espagne – Saint-Ouen l’Aumône © CACP – Gilles Carcassès

Mais n’oublions pas que beaucoup d’espèces utilisées pour l’ornement de nos parcs et jardins font aussi partie de cette belle famille, notons parmi les plus connues la glycine de Chine, les lupins, l’arbre de Judée, le févier d’Amérique, le robinier faux-acacia, le mimosa…

Wisteria sinensis, la glycine de Chine © CACP – Gilles Carcassès

Nous pouvons donc conclure cet article élogieux en confirmant que les Légumineuses sont une famille fabuleuse.

Retrouvez ici d’autres informations ou articles du blog sur les Légumineuses :

La journée mondiale des Légumineuses sur le site officiel de l’ONU

Galerie de fabacées

Les 89 espèces connues du territoire Francilien sur Florif.fr

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Galerie de luzernes

Répondant au nom de genre Medicago, les luzernes sont des plantes très semblables aux trèfles du genre Trifolium, que nous avons déjà présentés dans une galerie précédente. Les trèfles et les luzernes font d’ailleurs partie de la même famille, celle des FABACEAE. Dans cet article, nous allons présenter les 4 espèces les plus communes de la région.

Medicago lupulina – Poissy © CACP – Gilles Carcassès

La luzerne lupuline, Medicago lupulina, que l’on peut également appelée minette est de nos jours la plus répandue et la plus commune de tout le territoire où elle y est d’ailleurs indigène. Elle fleurit de mai à septembre en petites têtes compactes de nombreuses fleurs jaunes qui laissent par la suite apparaître des fruits rabougris plus ou moins courbés et réniformes.

Medicago arabica – Cergy © CACP – Gilles Carcassès

La luzerne tachetée, Medicago arabica, naturalisée par chez nous, est une des espèces les plus simples à reconnaitre du genre. En effet comme son nom l’indique ses feuilles possèdent des folioles munis d’une tache pourpre en leur centre. Comme il n’est pas impossible de trouver certains individus sans taches, on peut également noter que les inflorescences ne présentent que 1 à 6 fleurs en moyenne comparément à la luzerne lupuline qui peut en avoir jusqu’à 40 voire 50 dans certains cas.

Medicago sativa subsp. sativa – Neuville-sur-Oise © CACP – Gilles Carcassès

La luzerne cultivée, Medicago sativa, totalement naturalisée en Ile-de-France, est remarquable autant par sa taille (jusqu’à 90 cm) que par sa floraison unique de couleur violette. Elle s’est largement répandue sur la région car elle est cultivée en tant que fourrage et engrais vert.

Medicago minima – Cergy © CACP – Gilles Carcassès

Et enfin la luzerne naine ou petite luzerne, Medicago minima, est l’espèce la moins commune des quatre. Elle est assez semblable à Medicago lupulina mais en plus réduite et avec des fruits munis de d’épines fines et crochues.

Sources :

Flore d’Ile-de-France de Philippe Jauzein et Olivier Nawrot

Tela Botanica : Medicago lupulina, Medicago arabica, Medicago sativa subsp. sativa, Medicago minima.

Retrouvez ici d’autres galeries :

Galerie de trèfles

Galerie de véroniques

Galerie de fabacées

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Galerie de trèfles

Le genre Trifolium qui s’apparente aux trèfles possède une grande diversité d’espèces, aux couleurs et formes variées. Sur notre territoire nous pouvons en compter 17 allant du très commun à  l’extrêmement rare. Dans cet article nous exposerons 6 de ces espèces : Trifolium repens / le trèfle rampant, Trifolium pratense / le trèfle des prés, Trifolium fragiferum / le trèfle porte-fraise, Trifolium incarnatum / le trèfle incarnat, Trifolium arvense / le trèfle pied-de-lièvre, Trifolium campestre / le trèfle des champs.

Trifolium fragiferum – Cergy © CACP – Gilles Carcassès

Malgré leurs critères distinctifs bien particuliers, la plupart des trèfles partagent quelques traits physiques en communs, comme la fameuse inflorescence en pompon et les feuilles typiques découpées en trois folioles, ou quatre avec un peu de chance.

Trifolium repens – Cergy © CACP – Léo Micouin

Le trèfle rampant ou trèfle blanc est sans nul doute le trèfle le plus répandu de toute l’agglomération, il est partout, dans nos villes, dans nos campagnes, dans nos jardins, dans les trottoirs, de belles fleurs blanches à  pertes de vue. Cette espèce, formant des tapis de feuilles très compacts, est indigène dans notre région.

Trifolium pratense – © CACP – Gilles Carcassès

Le trèfle des prés est également extrêmement commun par chez nous bien qu’il soit moins polyvalent que le trèfle rampant. En effet il supporte un peu moins la tonte que son cousin à  fleurs blanches. Ce trèfle, indigène dans notre région, fleurit en grosses inflorescences rondes roses.

Trifolium arvense – Cergy © CACP – Gilles Carcassès

Le trèfle pied-de-lièvre est une espèce indigène à  pilosité accrue et à  calices à  longues et fines dents plumeuses. à€ travers l’amalgame de poils on peut parfois distinguer les petites fleur de cette espèce si particulière, en régression dans notre région.

Trifolium fragiferum – Vauréal © CACP – Emilie Périé

Le trèfle porte-fraises, commun en Ile-de-France, a l’air d’être un mélange de plein d’espèces différentes à  la fois, un peu de trèfle rampant pour son développement, une touche de trèfle des prés pour la couleur des fleurs, un zeste de la pilosité du trèfle pied-de-lièvre pour les fruits et une étonnante inspiration du fraisier des bois pour la forme et l’aspect général du fruit.

Trifolium incarnatum – Menucourt © CACP – Matthieu Delagnes

Le trèfle incarnat ou trèfle du Roussillon s’est, comme son nom l’indique, un peu perdu en cours de chemin. En effet d’après le CBNBP il ne serait indigène que dans la plupart de nos régions voisines comme la Bourgogne et la Champagne-Ardenne. Par chez nous il n’est que planté et/ou cultivé pour le fourrage et l’utilisation de la plante en tant qu’engrais vert. Cet individu photographié à  Menucourt a certainement dà» s’échapper d’un champ voisin. On le reconnait aisément à  ses feuilles très poilues et sans motifs et évidement à  ses longues inflorescences rouge sang.

Trifolium campestre – Carrières-sous-Poissy © CACP – Gilles Carcassès

Le trèfle des champs ou trèfle jaune est susceptible d’être confondu avec d’autres espèces du genre Medicago qui se rapporte aux luzernes. à‰tant extrêmement proches physiquement il est fréquent de les mettre dans le même panier, mais évidemment les luzernes possèdent un détail que ce trèfle n’a pas : les feuilles sont mucronées (petite pointe au bout de la feuille). Cette espèce commune et indigène de trèfle n’est toutefois pas à  confondre avec une autre qui lui est semblable : le trèfle douteux / Trifolium dubium, également jaune.

Sources :

Flore d’Ile-de-France de Philippe Jauzein et Olivier Nawrot

Tela Botanica : Trifolium repens, Trifolium pratense, Trifolium arvense, Trifolium fragiferum, Trifolium incarnatum, Trifolium campestre.

Florif

Retrouvez ici d’autres galeries :

Galerie de véroniques

Galerie de fabacées

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Galerie de fabacées

Les Fabaceae forment une famille végétale immense, dans le top 3 mondial, avec plusieurs milliers d’espèces ! On en retrouve une petite centaine indigène en àŽle-de-France et presque autant à  l’état cultivé (les fèves, pois et haricots sont des Fabaceae).

Voyons quelques caractéristiques de la famille. Les fruits sont en forme de gousses on les appelle fèves ou légumes (d’où le deuxième nom de la famille : les légumineuses). Les feuilles sont en général composées de plusieurs folioles. Les fleurs ont une forme caractéristique, de type papillon, avec un étendard, un carène et deux ailes. La plante a la capacité de fixer l’azote présent dans l’air grâce à  une symbiose avec des bactéries au niveau de ses racines (les nodosités) et de le rendre utilisable par ses voisines (et elle-même). Enfin, un dernier point commun à  ses plantes est que je les trouve généralement très élégantes. En voici quelques unes rencontrées ces dernières semaines.

Anthyllis vulneraria, l’anthyllide vulnéraire – Maurecourt © CACP – Emilie Périé

L’anthyllide vulnéraire est une plante assez rare dans la région. On la reconnait à  son inflorescence jaune, globuleuse et duveteuse unique.

Coronilla varia, la coronille changeante – Vauréal © CACP – Emilie Périé

La coronille changeante offre des variations de blanc et de rose qui peuvent rappeler certains bonbons. C’est une plante assez commune dans la région.

Lathyrus latifolia, la gesse à  larges feuilles – Neuville-sur-Oise © CACP – Emilie Périé

La gesse à  larges feuilles, du même genre que le pois de senteur (Lathyrus odoratus), présente de généreuses fleurs d’un rose soutenu. Elle est commune dans la région.

Onobrychis viciifolia, le sainfoin – Cergy © CACP – Emilie Périé

Le sainfoin est une plante qui se fait de plus en plus rare en àŽle-de-France. On peut la retrouver (comme ici) lors de semis d’espaces fleuris (elle était en compagnie de la nielle des blés, elle aussi quasiment éteinte dans la région) et quelques stations persistent de manière sauvage. Je pense en avoir trouvé une sur les bords de l’Oise.

Vicia cracca, la vesce cracca – Neuville-sur-Oise © CACP – Emilie Périé

Les grappes violettes de la vesce cracca sont très communes dans la région mais toujours aussi plaisantes.

Vicia hirsuta, la vesce hérissée – Neuville-sur-Oise © CACP – Emilie Périé

La vesce hérissée est la seule des 12 vesces franciliennes à  avoir des fleurs blanches, et assez petites.

Sources :

La flore d’àŽle-de-France, par Philippe Jauzein et Olivier Nawrot

L’anthyllide vulnéraire, par FLORIF

La coronille changeante, par FLORIF

La gesse à  larges feuilles, par FLORIF

Le sainfoin, par FLORIF

La vesce cracca, par FLORIF

La vesce hérissée, par FLORIF

Retrouvez dans nos articles d’autres fabacées :

Les mélilots

Les trèfles : des prés ; pied-de-lièvre et des champs ; porte-fraise ; rampant

Les lotiers

L'actualité de la Nature

Bientôt la Saint-Patrick !

Trifolium repens, le trèfle blanc – Vauréal © CACP – Léo MICOUIN

Demain, le trèfle sera à  l’honneur en Irlande. D’après la légende, cette plante à  trois folioles aurait été utilisée par Saint Patrick pour illustrer la Sainte Trinité au roi Aengus. Ce serait à  cette occasion que l’Irlande s’est convertie au christianisme et que le trèfle est devenu le symbole national du peuple Irlandais.

Une des espèces les plus communes dans la région

Ce trèfle est présent dans toute l’àŽle-de-France. C’est une espèce dite ubiquiste, elle s’adapte à  des milieux très variés comme les gazons, les friches ouvertes, les jachères ou encore les potagers.

Le trèfle blanc – Vauréal © CACP – Léo Micouin

Il fait partie de la famille des Fabaceae : ses fleurs présentent un étendard, deux ailes ainsi qu’un carène. Contrairement aux autres espèces de trèfle, ses tiges sont prostrées au sol : nous l’appelons aussi le trèfle rampant.

Une confusion est possible avec Trifolium fragiferum (le trèfle porte-fraise) et Trifolium pratense (le trèfle des prés), lorsqu’ils sont à  l’état végétatif.

Sources :

Flore d’àŽle-de-France, par Philippe Jauzein & Olivier Nawrot

Trifolium repens, par Florif

Trifolium repens, par Telabotanica

Trèfle blanc, par aujardin.info

Le trèfle, par guide-Irlande.com

Retrouvez d’autres articles sur les trèfles :

Le trèfle pied-de-lièvre

Vive le trèfle porte-fraise !

Le trèfle des près

L'actualité de la Nature

Le trèfle des prés

Trifolium pratense, le trèfle des prés – Vauréal © CACP – Gilles Carcassès

Le trèfle des prés, fréquent dans les prairies, est de la famille des Fabaceae. Il se reconnaît à  ses folioles marquées d’un V clair. La tête florale est accompagnée de feuilles, à  la différence du trèfle porte-fraises. Trifolium pratense est largement cultivé comme plante fourragère, elle est souvent associée à  du Ray-grass. Les nodosités symbiotiques de ses racines enrichissent le sol en azote, ce qui bénéficie à  la graminée et aux cultures suivantes. Au jardin, on peut aussi profiter des bienfaits du trèfle des prés en l’associant à  des légumes ou en le cultivant en engrais vert.

Trifolium fragiferum, le trèfle porte-fraise, vu au Verger à  Cergy © CACP – Gilles Carcassès

On trouve le trèfle porte-fraises dans les pelouses rases au sol tassé.

Les trèfles sont très visités par les bourdons et les papillons qui apprécient leur nectar abondant.

Retrouvez nos articles sur d’autres Fabaceae :

La gesse tubéreuse

Les mélilots

Galega, le sainfoin d’Espagne

La renaissance du sainfoin

Sources :

Trèfle des prés, le chanceux, par Sauvages du Poitou

Les plantes fixatrices d’azote, par Jardiner Autrement

L'actualité de la Nature, L'actualité des jardins

La gesse tubéreuse

Lathyrus tuberosus – Ile de loisirs de Cergy-Pontoise © CACP – Gilles Carcassès

Les bernaches du Canada semblent bouder cette plante qui forme de jolis massifs aux abords des étangs de l’Ile de loisirs de Cergy-Pontoise.

Fleurs de la gesse tubéreuse © CACP – Gilles Carcassès

Ses fleurs d’un rose vif, odorantes comme celles des pois de senteur, sont butinées par les abeilles domestiques. La gesse tubéreuse, fabacée vivace aujourd’hui peu commune en Ile-de-France, affectionne les prairies fauchées des bords de route, les talus herbeux, les bords de champs sur sols calcaires et argileux. Elle était autrefois cultivée comme fourrage, mais aussi en tant que légume.

Une étude de 1983 montre le bon potentiel alimentaire de cette plante. Ses tubercules bruns et ridés peuvent atteindre 20 à  30 centimètres de long lorsque la plante est en culture. Ils sont riches en protéines et auraient un goà»t de noisette. On les prépare cuits en purée.

Noix de terre, pois gras, châtaigne de terre ou pistache de Marcou : ses anciens noms vernaculaires témoignent de l’intérêt culinaire que lui portaient nos aà¯eux. Attention cependant, ses graines sont toxiques et ne doivent pas être consommées crues.

Elle fait partie des espèces indigènes recommandées par l’Agence Régionale pour la Biodiversité en Ile-de-France, pour les aménagements d’espaces verts et naturels.

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Mélilots

Galega, le sainfoin d’Espagne

La renaissance du sainfoin

 

L'actualité de la Nature

Galega, le sainfoin d’Espagne

Galega, parc du peuple de l'herbe à  Carrières-sous-Poissy
Galega officinalis, au parc du peuple de l’herbe à  Carrières-sous-Poissy © CACP – Gilles Carcassès

Galega officinalis, ou sainfoin d’Espagne, est une Fabaceae de grande taille d’origine méditerranéenne. Elle ressemble au sainfoin mais n’en a pas les vertus fourragères, cette plante peut même être toxique pour le bétail lorsqu’elle est en fleurs ou en fruits. Ses fleurs sont mauves ou bleutées, ce qui la distingue aisément du sainfoin dont les fleurs sont franchement roses.

Depuis le 18ème siècle au moins, elle est utilisée pour le décor des jardins. En espaces verts, elle est plutôt passée de mode, mais cette espèce s’est naturalisée un peu partout et est devenue une plante invasive, classée au niveau 3 sur une échelle de 5 par le Conservatoire botanique national du Bassin parisien (1).

On trouve le sainfoin d’Espagne dans les friches urbaines, les dépendances routières, les ballastières, les talus. J’ai repéré à  Cergy-Pontoise cette plante vivace sur des talus aux sols remaniés : sur l’ancien site du parc Mirapolis à  Osny, ainsi qu’au bord du bassin Blanche de Castille à  Saint-Ouen l’Aumône. Elle forme des populations denses et étendues dans les friches alluviales du parc du peuple de l’herbe à  Carrières-sous-Poissy.

Le sainfoin d’Espagne était autrefois cultivé en Ilalie comme engrais vert. Il a été un moment envisagé d’utiliser ses tiges très fibreuses pour la fabrication de pâte à  papier. (2)

(1) Catalogue de la flore vasculaire d’Ile-de-France par le CBNBP

(2) Le galéga par Gillet-Damitte (1868)

Agenda

Trésor des fèves et fleur des pois

Le trèfle porte-fraise Trifolium fragiferum photographié au Verger à  Cergy le jour de la formation © Gilles Carcassès
Le trèfle porte-fraise, Trifolium fragiferum, photographié au Verger à  Cergy © Gilles Carcassès

Qu’ont en commun le trèfle, le pois de senteur, le haricot, le robinier, l’ajonc, la gesse, le mimosa, la luzerne, l’arachide ? Toutes ces plantes sont des légumineuses. Maintenant, les botanistes utilisent le terme de Fabaceae (de Faba, la fève) pour désigner cette grande famille. La Société Nationale d’Horticulture de France organise un colloque scientifique le 20 mai 2016 à  Paris : Trésor des fèves et fleur des pois, le génie des légumineuses. Vous pourrez lors de cette journée faire le tour de l’actualité des légumineuses avec les meilleurs spécialistes du moment.

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