
Une végétation très graphique, n’est-ce pas ?
A lundi pour découvrir cette espèce.
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Tous les naturalistes franciliens convergent en ce 1er décembre 2018 à la Halle Pajol, à l’invitation de l’Agence régionale de la biodiversité d’Ile-de-France. C’est l’incontournable journée des Rencontres naturalistes !
J’ai l’honneur d’y être invité à présenter quelques-unes de mes observations sur mes mouches préférées, les Tephritidae.
Marion, dont vous avez apprécié les articles, a quitté Cergy-Pontoise cet été pour un très beau poste à Poitiers. Bien sà»r, elle va être remplacée :
Avis aux candidats ! Vous pouvez nous aider à faire connaître cette offre en la diffusant dans vos réseaux !
Apprendre par l’échange et l’expérience : jardin école de Vauréal
L’Ariane et la Mégère
Ni bonnes, ni mauvaises
D’une exploration nature sur les crêtes de La Roche-Guyon le 23 juillet 2018, j’avais rapporté des images de deux beaux papillons que je vous ai présentés dans ces pages : le Flambé, et l’Argus bleu nacré. En triant mes photos, je constate que mon chemin a croisé aussi celui d’un Petit nacré. Il mérite aussi son article !
Les grandes taches blanches, brillantes et bien contrastées au revers des ailes postérieures sont caractéristiques du Petit nacré.
Cette espèce dont les chenilles consomment des violettes n’est pas menacée mais elle est cependant peu commune en Ile-de-France. On peut observer ce papillon migrateur dans notre région jusqu’à la fin octobre.
Le Petit nacré, par l’Atlas des rhopalocères d’Ile-de-France (Cettia)
Comment identifier les nacrés, par FontainebleauBlog
Plus du tiers des papillons d’Ile-de-France menacé ou disparu !
Mathilde, notre stagiaire, a vu quelque chose dans ce cerisier de Sainte-Lucie.
Qu’est-ce donc que cette petite boule ?
A lundi, pour le savoir !
Aujourd’hui, le nombre de visiteurs du blog depuis le début de l’année 2018 a dépassé le score de l’année 2017 toute entière. Et l’objectif des 100 000 visiteurs annuels devrait être facilement atteint avant la fin de l’année !
Merci à nos fidèles abonnés, à tous nos lecteurs de Cergy-Pontoise et d’ailleurs, à nos contributeurs, aux partenaires qui relaient nos articles. Merci à Marion ma collègue, présente à mes côtés depuis la création de ce blog en 2013 et qui nous quitte ces jours-ci pour poursuivre sa carrière à la Communauté urbaine du Grand Poitiers.
On connaissait le célèbre jardin potager pédagogique de l’école Du Breuil. Juste derrière, j’ai découvert son extension récente. Hervé, jardinier à l’école Du Breuil, nous a très aimablement fait visiter. Il appelle cet endroit le « jardin d’Hélène », du nom de la stagiaire qui l’a conçu.
Ce potager fait la part belle aux plantes fleuries, pour favoriser les insectes auxiliaires et les pollinisateurs. Ici on reconnait parmi les blettes et les artichauts, des cosmos, des rudbeckias annuels, des zinnias et de la bourrache. Et les plantes potagères ont l’air de très bien s’accommoder de leurs exubérantes voisines.
Haricot grimpant, courge et maà¯s, l’association traditionnelle appelée Milpa est toujours pratiquée en Amérique centrale. C’est l’un des exemples les plus connus d’association avec des légumineuses. Celles-ci par leurs capacités symbiotiques à fixer l’azote atmosphérique enrichissent le sol pour le plus grand bénéfice des cultures associées. Ici c’est un haricot grimpant mangetout violet qui s’enroule autour des tiges de maà¯s.
Milpa oblige, la courge est là aussi, et le fruit protégé des rongeurs.
Ce petit jardin est un haut lieu de l’expérimentation potagère. Vous pourrez y voir des pommes de terre cultivées sans travail du sol, des cultures de légumes sur buttes de branchages et compost, des cultures sur bottes de paille… L’endroit vaut le détour et vous donne une raison de plus de venir le jeudi 30 aoà»t 2018 à la matinée de présentation des massifs de floraison estivale de l’école.
Le potager de l’école Du Brueil primé au concours des jardins potages de la SNHF
Le biocontrôle, la nouvelle approche du jardin
Les associations avec des légumineuses : quels bénéfices au potager – Jardiner Autrement
Le parc du château de Grouchy est un espace public de 39 hectares, aménagé sur d’anciens marais dans la vallée de la Viosne. Le Conseil départemental du Val d’Oise, la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise et la commune d’Osny se partagent sa gestion écologique. La château, autrefois propriété du marquis Jean-Félix de Grouchy (arrière-petit-fils du maréchal d’Empire Emmanuel de Grouchy), abrite la mairie d’Osny depuis 1989. Les corniches du château hébergent la plus belle colonie d’hirondelles de fenêtre de Cergy-Pontoise.
Les peupliers et les nombreux arbres morts accueillent une entomofaune particulière.
De nombreuses espèces introduites pour l’ornement se sont naturalisées dans le parc.
Les bords de l’étang et de la Viosne sont le paradis des oiseaux aquatiques, des odonates et des insectes qui apprécient la riche végétation des berges.
En limite ouest du parc, une prairie fleurie offre en hiver le couvert aux oiseaux granivores.
La prairie humide du Verger permet de belles observations d’insectes. Nous y inventorions chaque année les papillons et les plantes de la prairie avec les protocoles Propage et Florilèges prairies urbaines.
Naissance d’une libellule au parc du château de Grouchy
Retour sur la fête de la nature 2018 à Cergy-Pontoise
Une aeschne bleue au parc du château de Grouchy