Tiens, une noctuelle. Il n’y a plus qu’à trouver son espèce parmi les 831 noctuelles répertoriées en France ! Celle-ci est très contrastée, on devrait pouvoir la repérer sans trop de mal dans l’iconographie.
![Tyta luctuosa, la noctuelle en deuil, sur une feuille de photinia - Vauréal © Gilles Carcassès](https://natureenville.cergypontoise.fr/app/uploads/2016/06/tyta-luctuosa-vaurc3a9al-04-06-2016.jpg?w=630)
Il s’agit d’Aedia funesta, une des espèces que l’on peut voir voleter le jour dans les jardins. Sa chenille mange des liserons. Mais attention, il y a un piège : il ne faut pas la confondre avec Tyta luctuosa, la « noctuelle en deuil »dont les dessins blancs sont légèrement différents. Sa chenille consomme aussi des liserons.
![Tyta luctuosa © Gilles Carcassès](https://natureenville.cergypontoise.fr/app/uploads/2016/06/tyta-luctuosa-sur-centaurea-dourgne.jpg?w=630)
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