Il est revenu !
On le croyait disparu, victime de l’épidémie de virus Usutu. Il a été absent du Verger durant tout l’hiver et voilà que de nouveau le jardin résonne du chant flà»té du merle ! Il encourage les collègues qui arrivent de bon matin.
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Le merle noir mâle est facile à reconnaître avec son plumage noir et son bec jaune orangé bien visible. La femelle est beaucoup plus brune.
Attention : ne pas confondre le merle noir et l’étourneau
L’étourneau sansonnet possède une queue plus courte et son plumage présente au printemps de beaux reflets métalliques.
Le merle noir est capable d’occuper pratiquement tous les milieux arborés, depuis les forêts profondes jusqu’aux jardins au cœur des villes, ce qui explique sa grande présence en Ile-de-France. La population des merles a été estimée à 200 000 – 300 000 couples en 2010 et c’est en milieu urbain qu’ils sont le plus présents.
Comme l’indique son bec, le merle a un régime alimentaire mixte : il se nourrit de vers de terre et de larves d’insectes, mais après l’élevage des jeunes, il est frugivore et se délecte de cerises, de figues ou bien encore de mà»res. Au jardin, il consomme volontiers les fruits des pommiers d’ornement, ainsi que les baies des cotonéasters et des pyracanthas.
Sources :
Le merle noir, par Oiseaux.net
Le chant du merle noir, par studio les trois becs
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