STOC, le Suivi Temporel des Oiseaux Communs, est un programme de sciences participatives porté par le Muséum national d’Histoire naturelle depuis 1989. De nombreux observateurs bénévoles contribuent par ce programme à l’évaluation des dynamiques de population des oiseaux nicheurs communs.
Le bilan 2012 du STOC dans la région Ile-de-France témoigne d’une régression de 27 espèces (dont l’hirondelle rustique, l’hirondelle de fenêtre, le moineau domestique, le chardonneret élégant…) et de la progression de 17 autres. Ainsi, la fauvette grisette classée « quasi menacée » sur la liste rouge des oiseaux nicheurs au niveau national, a été déclassée en « préoccupation mineure » à l’échelle de l’Ile-de-France où sa population est en augmentation (voir la liste rouge régionale des oiseaux nicheurs d’Ile-de-France). A l’inverse, bien qu’encore commune, la linotte mélodieuse est de plus en plus rare en Ile-de-France et se classe parmi les « espèces quasi menacées ».
Depuis cette année, la cellule Biodiversité de la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, la ferme d’Ecancourt et le pôle handi-nature de la base de loisirs de Cergy-Pontoise se sont associés pour contribuer à ce programme.
STOC, sur l’agglomération de Cergy-Pontoise, c’est un échantillonnage de 40 pointsd’écoutesur 16 km² sur la partie centrale du territoire et deux périodes de relevés (Avril et Mai). Pour l’ensemble des relevés, 52 espèces d’oiseaux ont été dénombrées.
Des oiseaux typiques de certains milieux ont ainsi été observés.
Milieux forestiers : pouillot véloce, grimpereau des jardins, geai des chênes, pic épeiche…
Milieux arborés :grives musiciennes et grives draines ont besoin d’espaces arborés pour nicher et de clairières ou de grandes pelouses pour se nourrir, tout comme le pic vert.
D’autres oiseaux se rencontrent partout, ce sont des ubiquistes :pigeon ramier, pie, étourneau sansonnet, corneille noire, rouge-gorge, mésange charbonnière et mésange bleue mais encore pinson des arbres, fauvette à tête noire, troglodyte mignon, accenteur mouchet.
Attention, il s’agit de relevés formatés par un protocole, sur un temps limité. Il ne s’agit pas d’un inventaire exhaustif. D’autres espèces non relevées lors du protocole, sont bien présentes sur le territoire de Cergy-Pontoise : chardonneret élégant, pic noir, faucon hobereau, chouette chevêche…
pas de baisse de fréquentation chez moi, au Ponceau : chardonnerets et moineaux ont continué a fréquenté leur « restaurant » .Comme les années précedentes pour les chardonnerets et encore plus nombreux étaient les moineaux!
les verdiers, les pinsons des arbres et les mésanges (bleues et charbonnières) ont fréquenté le même restaurant (plat unique: graines de tournesols).
Par contre nous n’avons pas vu de pinson du nord ni de tarin des aulnes.
Actuellement nous sommes survolés chaque soir par des martinets et des hirondelles (en ce qui concerne les prévisions météorologiques, force est de constater que le vol des hirondelles n’indique rien!)
Pinsons du Nord et tarins ont été vus cet hiver sur Cergy, mais ces oiseaux sont des visiteurs plus fréquents lorsque les hivers sont rudes, ce qui n’a pas été le cas en 2014. Bravo pour votre intérêt pour les oiseaux ! La seule observation certaine de fauvette des jardins pendant ces relevés, c’était au pied de votre immeuble.
pas de baisse de fréquentation chez moi, au Ponceau : chardonnerets et moineaux ont continué a fréquenté leur « restaurant » .Comme les années précedentes pour les chardonnerets et encore plus nombreux étaient les moineaux!
les verdiers, les pinsons des arbres et les mésanges (bleues et charbonnières) ont fréquenté le même restaurant (plat unique: graines de tournesols).
Par contre nous n’avons pas vu de pinson du nord ni de tarin des aulnes.
Actuellement nous sommes survolés chaque soir par des martinets et des hirondelles (en ce qui concerne les prévisions météorologiques, force est de constater que le vol des hirondelles n’indique rien!)
Pinsons du Nord et tarins ont été vus cet hiver sur Cergy, mais ces oiseaux sont des visiteurs plus fréquents lorsque les hivers sont rudes, ce qui n’a pas été le cas en 2014. Bravo pour votre intérêt pour les oiseaux ! La seule observation certaine de fauvette des jardins pendant ces relevés, c’était au pied de votre immeuble.