J’ai trouvé ce beau carabe caché sous l’écorce d’un tronc de merisier mort dans les bois de Neuville-sur-Oise. La ponctuation de ses élytres m’oriente vers la sous-espèce purpurascens du carabe violet. Cet insecte est assez commun dans les habitats forestiers. C’est un prédateur d’autres insectes.
Les carabes sont de précieux insectes auxiliaires au champ, comme au jardin.
Ces événements vous sont proposés par la Maison de la Nature de Vauréal. Le reste de leur programme pour le mois de juin 2016 est très alléchant : sorties oiseaux, champignons, insectes, ainsi qu’une rencontre avec un descendant d’André Michaux, le célèbre botaniste de Vauréal, explorateur de l’Amérique du Nord.
Le comité 21, 1er réseau d’acteurs du développement durable en France, présente 94 « solutions pour demain » innovantes, duplicables, participatives et durables. Vous pouvez voter, jusqu’au 30 mai 2016, pour la solution de votre choix et participer ainsi à la désignation du lauréat du prix du public.
L’équipe de Nature en ville à Cergy-Pontoise y a déposé sa solution !
Vos réponses très nombreuses ont permis d’établir des statistiques tout à fait représentatives. Un grand merci aux 157 lecteurs qui ont participé !
Voici les résultats de ce sondage, avec nos commentaires :
Ouh là , encore du travail pour percer chez les jeunes ! (mais peut-être que nos jeunes lecteurs n’aiment pas les sondages)
Cela nous ferait donc, au vu de la fréquentation actuelle, 1800 visites de « cergypontains » par mois.
Une cible double, résultat conforme à notre objectif de sensibiliser à la fois les professionnels et le grand public.
Nous avons affaire à un public très fidèle : merci !
Vous trouvez les articles du blog (réponses multiples sur 157 questionnaires renseignés)…
Un encouragement à poursuivre et soutenir le rythme.
Vous appréciez les articles du blog (également en réponses multiples)…Des intérêts en cohérence avec les classes d’âge et la répartition des publics professionnel et non professionnel.
« Nature en ville à Cergy-Pontoise » a été créé en avril 2013 au départ pour un public professionnel de la nature et du jardin sur le territoire de Cergy-Pontoise, puis il a été ouvert au grand public. Notre fréquentation est en constante progression et nous atteignons maintenant plus de 5 000 visites par mois.
Afin de mieux cibler nos publications, il nous serait utile de connaître votre ressenti et vos attentes. Aussi nous vous proposons de répondre à un questionnaire qui ne vous prendra pas plus d’une minute :
Savez-vous qu’il existe en France 150 espèces de vers de terre, aux modes de vie très différents ? Que dans le sol d’un hectare de prairie, ils pèsent autant que trois vaches ? Qu’ils sont essentiels à la fertilité des sols ?
Natureparif propose des demi-journées de formation pour connaitre les vers de terre. La première de ces formations, le 15 février 2016, se déroulera à Cergy. Ces formations sont ouvertes aux personnes désireuses de mieux connaitre les vers de terre et leurs rôles dans les sols : gestionnaires d’espaces verts ou naturels, membres d’associations de jardins partagés ou familiaux, agriculteurs, jardiniers amateurs.
D’un coup de bec rapide et précis elle retourne toutes les feuilles mortes de platane, parfois les déplace et les entasse, et picore les limaces qui se cachent dessous.
Comme il est expliqué dans l’article de l’excellent blog parisien « Ca se passe au jardin », j’ai envoyé mon signalement de corneille baguée à corneilles@mnhn.fr. Les scientifiques du Muséum qui ont bagué ces oiseaux veulent étudier leurs déplacements et leur comportement dans les espaces verts parisiens.
Les végétaux sont offerts par les partenaires de l’opération Plus d’arbres, plus de vie ! , portée par l’Office français de la Fondation pour l’Education à l’Environnement en Europe.
L’opération « Plantons pour la COP » concerne 50 des 80 lycées écoresponsables franciliens.
Les lycéens du lycée Jules Verne planteront 15 arbustes à fleurs, et ceux du lycée Jean Perrin 15 charmilles.
Gamine et Décolorée d’Antifer sont à l’œuvre au parc du Prieuré à Conflans. Ces deux chèvres des fossés de la Ferme d’Ecancourt, accompagnées de quatre brebis solognotes, ont pour mission de débroussailler l’ancienne cascade.
La ville de Conflans nous fait là une superbe démonstration de la capacité des chèvres et des brebis à remplacer les moyens mécaniques en douceur et sans pollution. Quand elles auront fini, il n’y aura plus qu’a remettre le lac !
Ces deux jeunes vaches, venues renforcer les rangs de la Ferme d’Ecancourt à l’automne 2014, sont des bretonnes pie noir, une race en péril qui bénéficie depuis 1976 d’un programme de conservation. Chaque mois, l’une d’entre elles rejoint les copines solognotes restant à demeure dans les pâtures de la fondation John Bost afin d’entretenir le site, pendant que sa consœur retourne à la ferme.
Pourquoi tant d’allées et venues ? Pourquoi faire intervenir deux vaches sur une pâture à priori adaptée à l’hébergement d’un seul bovin ?
Florian, animateur et formateur à la ferme d’Ecancourt, nous explique que les changements réguliers de pâture permettent de multiplier les contacts, d’entretenir des liens constants avec les animaux et de simplifier ainsi leur manipulation. Et en effet, Eden et Hurricane ont beau appartenir à la plus petite race bovine française et être fort sympathiques, elles pèsent tout de même près de 400kg et sont suffisamment toniques pour faire parfois tourner en bourrique les animateurs de la ferme…
Les vaches paissent à l’ouest du site, en bordure du massif de l’hautil sur une parcelle de 1,5 ha. Elles sont régulièrement aidées par les brebis. La parcelle est en effet gérée en pâturage mixte (ovin-bovin), une méthode intéressante à plusieurs titres. Cette technique permet de lutter efficacement contre les parasitoses des deux espèces mais aussi d’avoir une pression de compactage du sol variable et complémentaire, qui peut être propice à la biodiversité.
Saviez-vous que les sabots d’une vache fixent quatre fois plus de graines au sol que les onglons d’une brebis ?