Dans la famille pic vert, les deux sexes se ressemblent, mais la moustache teintée de rouge permet de reconnaître le mâle.
Cette espèce qui fréquente les lisières forestières apprécie les herbes courtes. Il y cherche des fourmilières qu’il explore avec sa longue langue visqueuse munie de petits crochets. Si les fourmis forment l’essentiel de ses repas, il ne dédaigne pas les limaces, les mouches, les chenilles, les perce-oreilles, les charançons et les longicornes, et peut aussi agrémenter ses menus de quelques baies et graines.
Où les trouve-t-il ces herbes courtes ? Dans les clairières où prolifèrent les lapins, dans les herbages où pâturent les moutons, et aussi dans les parcs et les résidences. Ainsi les pelouses régulièrement tondues, qui sont si peu favorables à la biodiversité, font le bonheur du pic vert. Favoriser la biodiversité n’est pas aussi simple que de suivre un recueil de recettes…
http://inpn.mnhn.fr/docs/cahab/fiches/Pic-vert.pdf
http://omnilogie.fr/O/Pourquoi_le_pic-vert_ne_devient_pas_toc-toc
3 réflexions au sujet de “Oh, le beau mâle !”