L'actualité des jardins

Un jardin innovant à  Jouy-le-Moutier

Le site des jardins familiaux des Hauts de Jouy, à  Jouy-le-Moutier, et son bassin réservoir © CACP – Gilles Carcassès

Pour les rendez-vous aux jardins 2017, nous avions prêté à  l’association des jardins familiaux des Hauts de Jouy la très belle exposition « Juste sous nos yeux » sur la biodiversité ordinaire de Cergy-Pontoise.

Juste sous yeux, l’exposition (les photos sont de Lionel Pagès) © CACP – Gilles Carcassès

Les 25 panneaux avaient pris place dans le hangar collectif de l’association.

Un jardin d’essais

Une jardinière m’a gentiment invité à  goà»ter ses framboises et visiter son jardin. Comment résister ? Marie-Dominique Delcayre s’est lancée avec passion dans des expériences de permaculture : paillages, cultures sur buttes de branches et de compost, jardins en carrés (ou en ronds), associations de plantes…

Des plants de choux rouges poussent dans une barrique trouvée dans une brocante © CACP – Gilles Carcassès

A la place d’honneur, au milieu de son potager, trône une magnifique spirale d’aromatiques.

Spirale d’aromatiques © CACP – Gilles Carcassès

De grandes orgues de haricots grimpants étaient en préparation : technique de jardinage ou installation artistique ? Sà»rement les deux, et une façon de se faire doublement plaisir !

Un mur d’escalade pour haricots © CACP – Gilles Carcassès

Bientôt primé ?

Il paraît que la ville de Jouy-le-Moutier a sélectionné son jardin pour être présenté au concours départemental des villes, villages et maisons fleuris, catégorie « jardin potager ». Souhaitons-lui bonne chance !

Retrouvez d’autres articles sur des jardins familiaux à  Cergy-Pontoise :

De la sciure pour le jardin

Jardins de week-end

L’arrivée des ruches aux jardins familiaux

3 réflexions au sujet de “Un jardin innovant à  Jouy-le-Moutier”

  1. A multiplier sans modération ! Il faut que les collectivités sanctuarisent en urgence les parcelles de bonnes terres maraîchères (du moins celles qui restent encore …) en urbanisant prioritairement les terres de qualité médiocre ou les « friches » d’anciennes zones d’activités. Pourquoi conserver les espaces boisés ou les zones humides si parallèlement on méprise les terres fertiles ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *